Alexandre Jourdain

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Une vie - Stéphane Brizé - critique

Bonjour Josiane, Si mes souvenirs sont exacts, il y a plusieurs poèmes récités par Jeanne pendant le film. L’un d’entre eux est extrait du poème "J’avais froid" de Marceline Desbordes-Valmore, un autre est tiré de "Le Dieu créateur" écrit par Guy de Maupassant lui-même. En substance : « Je t’aime comme un pauvre enfant Soumis au ciel quand le ciel change ; Je veux ce que tu veux, mon ange, Je rends les fleurs qu’on me défend. » in "J’avais froid" de Marceline Desbordes-Valmore « Car souvent, quand un jour se lève triste et gris Quand on ne voit partout que de sombres images, (...)

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Personal Shopper - la critique du film

Naufrage inattendu et embarrassant, Personal Shopper n’a pas la carrure d’un film de compétition. Reconnaissons qu’Olivier Assayas n’a au moins pas peur du grotesque.

Mon roi - la critique du film

Maïwenn filme la rencontre explosive entre un ogre et une princesse, un hédoniste et une fille rangée. Un cocktail haut en couleur malheureusement lesté par un scénario et une réalisation trop convenus.

Portrait de femme - Jane Campion - critique

Ce qui pourrait passer ici pour un film en costume académique n’est rien de moins peut-être que le manifeste du cinéma de Jane Campion. L’histoire sibylline d’une femme insaisissable prisonnière de ses fantasmes.

Les Fantômes d’Ismaël (Cannes 2017) - la critique du film

Desplechin condense les grandes lignes de sa filmo entre mélodrame et proto film d’espionnage. Une synthèse hasardeuse et qui manque de liant, à réserver aux inconditionnels.

L’étage du dessous - Radu Muntean - critique

Radu Muntean esquisse le cas de conscience d’un homme normal dans un monde banalisé. Parfois haletante, l’intrigue révèle toutefois trop ses rouages, et pêche par une mise en scène monotone.

Twin Peaks, saison 3 (Cannes 2017) - la critique

Les espérances placées en cette troisième saison de Twin Peaks n’étaient pas vaines. David Lynch, à défaut de continuer le cinéma, et son complice Mark Frost épuisent leur sujet avec une maîtrise ahurissante. Réussite totale que ce retour du crypto-bizarre entre nostalgie et réinventions.

Top of the Lake, Saison 2 (Cannes 2017) - la critique

Clairvoyants, cruels, drôles, glaçants... les deux premiers épisodes de la saison 2 de Top of the Lake réunissent toutes les fulgurances des débuts. Campion change le décor, mais poursuit les jeux de domination en mathématicienne. Superbe et virtuose.

The Young Pope - la critique de la série de Sorrentino

Sorrentino file, comme tout le monde, faire le show à la télévision... La saison 2 vient d’ailleurs d’être annoncée, quelques jours avant la diffusion française.

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A inclure dans le corps du texte, au milieu d’un paragraphe. Merci.