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Le voyage de Shuna - Hayao Miyazaki - la chronique BD

On peut effectivement penser à La route à la lecture de cet album, quoique les aquarelles pastel où le sublime de la nature fait face à la petitesse de l’homme contrastent grandement avec la sobriété grisée du roman de McCarthy - et encore davantage avec l’adaptation de Manu Larcenet. D’ailleurs, la nature n’y existe presque plus, si tant est que cela soit possible. Je parle d’ailleurs plus longuement des deux œuvres sur Pamolico (https://pamolico.wordpress.com/2024/04/14/le-voyage-de-shuna-hayao-miyazaki/)

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Annette - Leos Carax - critique et test Blu-ray

En effet, personne n’oubliera ce long-métrage qui, finalement, n’en est pas vraiment un, mais plutôt un patchwork mêlant tous les arts. Expérimental et inclassable, il est virevoltant, certes, mais peut-être trop lent, trop long, si grandiose qu’il en flirte parfois avec le grotesque... (j’en parle plus longuement sur Pamolico : https://pamolico.wordpress.com/2021/07/12/annette-leos-carax/)

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Nomadland - Chloé Zhao - critique

Il est vrai que cette réalisation tient davantage du docu-fiction que du long-métrage fictionnel à proprement parler. C’est en effet tout un pan de l’Amérique qui se révèle à nous grâce à Chloé Zhao, tant social que géographique. La beauté des paysages semble d’ailleurs là pour souligner la solitude de ces vagabonds "des temps modernes". Malgré tout, la lenteur des plans, le silence qui l’emporte sur les dialogues, en font un film exigeant et dur, profondément sombre (j’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2021/06/17/nomadland-chloe-zhao/)

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Sons of Philadelphia - Jérémie Guez - critique

En plus de cette attention portée au déterminisme et à la mise en scène, j’ai aussi apprécié la volonté du réalisateur de filmer la mafia sans faire saigner ses héros à chaque plan, sans multiplier les fusillades. Il est bien davantage dans le sous-entendu et c’est aussi, à mon sens, ce qui confère sa beauté et sa singularité à ce long-métrage (j’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2021/05/30/sons-of-philadelphia-jeremie-guez/)

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La fille au bracelet - Stéphane Demoustier - critique

En effet, la mise en scène reste très sobre, mais je trouve que cela sert au contraire le propos de ce long-métrage. La critique judiciaire ne s’en trouve que décuplée, et le doute qui emplit le spectateur a toute la place de grandir et de muter - ce que l’issue du long-métrage vient souligner, non sans ironie (j’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2021/03/11/la-fille-au-bracelet-stephane-demoustier/)

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Sorry, We Missed You - Ken Loach - critique

Touchant, oui, c’est vrai, même si le film tend drôlement vers le documentaire sombre. D’ailleurs, c’est amusant de voir que sur les trois photographies illustrant la critique, deux sont très lumineuses alors que c’est une réalisation noire où l’espoir se fait si rare... (j’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/10/29/sorry-we-missed-you-ken-loach/)

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A voir ou à revoir sur Netflix : Dans leur regard - la critique de la série

"Un profond récit en 4 actes" bien plus qu’une série, je suis entièrement d’accord. Si le pathos est parfois à la limite du supportable, l’ensemble, d’une justesse rare et baigné de jeux de lumière, semble digne du grand écran... (j’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/10/17/when-they-see-us-dans-leur-regard-ava-duvernay/)

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White Lines - la critique de la série

Une série qui se regarde avec un certain régal, en effet... Régal coupable, certes, mais on binge-watche sans bouder notre plaisir et on savoure le suspense qui fonctionne malgré tout assez bien ! (j’en parle ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/06/21/white-lines-alex-pina/)

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Hollywood – la critique de la mini-série

Un peu naïve en effet, un peu trop optimiste et chargée d’espoir. Écran Large considère cette série comme presque uchronique, comme une réécriture du scénario historique à la manière des "et si..." et je trouve que c’est une bonne façon de redorer le blason de Hollywood, réalisation chorale et sympathique s’il en est ! (mon avis ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/05/24/hollywood-ryan-murphy-saison-1/)

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The Eddy - la critique de la série

Je n’ai pas réussi à aller au bout... casting 5 étoiles, c’est sûr, jolie BO (dans les 2 premiers épisodes, je ne saurais dire pour le reste) mais quel scénario embrouillé et quel glauque ! Un gâchis, en effet.

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La Chienne - Pilar Quintana - Critique du livre

Pour ma part je n’ai pas été convaincue par ce roman très court. Damaris a des réactions difficilement compréhensibles, elle agace le lecteur plus qu’elle ne l’apitoie. Quant au style, il m’a semblé plus brut et simple à l’excès que "fulgurant"... Peut-être est-ce une question de sensibilité. (J’en parle plus longuement ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/08/06/la-chienne-pilar-quintana/)

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Le cœur de l’Angleterre - la critique du livre

Un beau roman choral contemporain, en effet, même si dresser quelques parallèles avec les précédents opus aurait été intéressant. Ils dépeignent de manière peut-être plus juste et plus subtile respectivement les années 1970 et 2000. L’humour so british est toujours au rendez-vous ici mais on regrette les trop nombreuses ellipses qui fractionnent un peu la lecture (mon avis ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/03/27/la-trilogie-bienvenue-au-club-jonathan-coe/)

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De pierre et d’os – la critique du livre

Je suis plutôt d’accord, même si j’ai regretté qu’une vie soit raccourcie à quelques 200 pages et que les personnages nous soient aussi peu sympathiques... mais votre façon de décrire la poésie qui se dégage de ces pages est vraiment belle et à-propos je trouve (plus d’infos : https://pamolico.wordpress.com/2019/12/15/de-pierre-et-dos-berengere-cournut/).

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