Le 3 septembre 2015
- Durée : 2h02mn
Le rapprochement de Dreamworks avec le géant de l’année 2015, Universal, le laisse supposer...
Le rapprochement de Dreamworks avec le géant de l’année 2015, Universal, le laisse supposer...
Intouchables Les Dents de la mer et Retour vers le Futur ? Le premier blockbuster estival de l’histoire du cinéma qui fêtait cette année ses 40 ans quand le film de Zemeckis, de son côté, célébrait ses 30 ans, ont tiré pourtant beaucoup de suites et sequels comme des casseroles à leur formidable volet originel.
Pourtant Spielberg, réalisateur du premier, et producteur du second, s’était toujours opposé à l’idée d’un remake ou reboot, pourtant sollicitée par le public, mais redoutée par les fans hard-core, prêt à crier à l’hérésie.
Alors que Spielberg vient d’annoncer son refus de voir Dreamworks renouveler son contrat de distribution chez Disney, pour des raisons de conglomérat monstrueux qui lui pose de sérieux soucis d’éthique (l’empire de Mickey possède, outre son prodigieux catalogue d’animation Pixar, les droits sur la franchise Star Wars), le réalisateur de La Liste de Schindler opterait vers un rapprochement intéressant avec le studio numéro 1 de l’année 2015, Universal Pictures (The visit de Shyamalan, Everest, ou encore Crimson Peak pour cette fin d’année). Or, Jaws et Back to the Future intéressent particulièrement le studio américain qui a exploité les deux films en salle et en vidéo, et dans leur parc d’attractions. Toutefois Universal, qui a aussi distribué Jurassic World en 2015, n’a pas le pouvoir de décision d’un remake éventuel.
Dans le cas de Retour vers le Futur, c’est en fait Zemeckis lui-même et le scénariste Bob Gale (1941 de Spielberg, la Grosse magouille de Zemeckis) qui en détiennent les droits. Avec un peu d’insistance de la part de Spielberg, la probabilité gonfle, et paraît désormais même inévitable.
A suivre.
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