Estelle Charles

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Titanic revient en 3D, notre critique...

Cher Pas d’accord, Tout d’abord je tiens à préciser qu’à Avoir Alire, notre liberté d’expression est totale et que toute critique est un travail bénévole, les propos que nous y tenons ne sont donc nullement le fruit d’assujettissements divers et variés.... Ensuite, un film peut être ’’cinématographiquement’’ réussi tout en versant dans l’anachronisme ou l’irréalisme historique (un pauvre et une riche était à l’époque, une utopie, personne n’ira le nier). L’esthétique et le propos sont deux choses bien différentes....Tout dépend des attentes du et de(s) (car les avis divergent de l’un à (...)

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La délicatesse - David Foenkinos - critique

cher Rensarr, Je ne vais pas vous refaire une critique du film, je crois que tout est dit....Il semble que nous n’ayons pas eu le même ressenti mais cela arrive souvent au cinéma, on ne va pas en faire toute une histoire. Désolé que mon article vous ai tant influencé à vous réfugier dans la délicatesse d’une salle obscure ce jour là, mais au moins vous vous êtes fait votre propre idée du film, c’est déjà ça. Une leçon à tirer de tout ça : critiquer un film c’est un art très subjectif.... bonne soirée estelle

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Et si on vivait tous ensemble - la critique + test DVD

Une comédie pleine d’audace et de subtilité renversant à coups de pied les clichés sur la vieillesse. De bonnes parties de rire en perspective

Stoker - la critique

Après une trilogie vengeresse (Sympathy for Mr Vengeance, Old Boy, Lady Vengeance) qui le révèla au cinéma et une incursion vampyrique qui suscita une polémique internationalle , Park Chan-Wook rejoint la lignée des cinéastes asiatiques exportés Outre-Atlantique. Loin d’y faire naufrage, le coréen contourne l’écueil du formatage, joue de la contrainte et renouvelle son style. Une oeuvre envoûtante, mystérieuse, ambigüe, vernie d’une indéniable beauté.

La couleur des sentiments - la critique

Film ouverture du festival de Deauville, la couleur des sentiments dépeint à grand renfort d’émotions, la question du noir et blanc américain. Chatoyant, propre, et sympathique, le film reste classique mais confortable. Une oeuvre qui devrait en séduire plus d’un(e).

Entretien avec Katell Quillévéré à propos de Suzanne

Nous revenons avec Katell Quillévéré sur Suzanne, actuellement un beau succès dans les salles art et essai de France et de Navarre.

Les âmes de papier-coup d’oeil

L’argument : Paul exerce un drôle de métier, il écrit des oraisons funèbres. Victor, son ami et voisin, ne sait plus comment s’y prendre pour le sortir de sa solitude. Un jour, Emma, une jeune veuve, fait à Paul une demande inédite : raconter son mari disparu à son fils de 8 ans. Mais, alors qu’une idylle se noue entre Paul et Emma, les fantômes du passé ressurgissent. Une histoire d’amour… et de revenants !
Notes : Réalisé par Vincent Lanoo, Les âmes de papier réunit à l’écran un duo (...)

Call me Fitz, une nouvelle série culte ?

A la croisée de Nip Tuck et de Californication, Call me Fitz surfe sur la vague des héros provocateurs sans foi ni loi mais peine à sortir la tête du lot. La présence de Jason Priestley et de son loufouque Mr Fitz garantira-elle la longévité d’une série qui, avec deux épisodes au compteur, semble déjà à bout de souffle...