Marine Bénézech

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La petite fille de la terre noire - la critique

Un film qui se déroule à la manière de Wayne Wang et dont la noirceur du message fait penser à Allemagne, année zéro de Rosselini. Dans un décor épuré, d’une blancheur quasiment virginale, en opposition avec la violence intérieure de la petite héroïne, Jeon Soo-il nous plonge dans un univers bouleversé par la douleur et l’inconcevable. Superbe.

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A cinq heures de Paris - La critique

Le temps semble très long pendant les 1h30min d’A cinq heures de Paris. Heureusement, l’acteur Dror Keren, attendrissant, voire séduisant en timide patenté, emporte l’adhésion.

Puzzle - la critique

Le monde du puzzle dévoilé, sans grand style et sans grande émotion.

Bébés - la critique

De bonnes intentions, de belles images, des bébés adorables, mais faute de discours, le documentaire manque tout de même de consistance.

Baaria - la critique

Décevant, Baaria est une fresque qui n’a de superbe que ses décors et ses acteurs et dont la dimension historique est occultée au profit d’une surenchère d’émotions.

The world is big - La critique

Le nouveau long-métrage de Stephan Komandarev est une œuvre pudique et délicate, bercée par la traversée initiatique à travers l’Europe du personnage principal.

Deauville (11/09) : Le palmarès

Le mélodrame Mother and child a emporté l’adhésion du jury du 36ème festival du cinéma américain de Deauville.