Quelques informations sur Richard Copans.

– Durée : 1h49mn
L’argument : A Marseille, le lieutenant Tavares a une image inhabituelle pour un flic. Même s’il est d’une efficacité redoutable, il aime l’argent, le luxe et la frime... On lui envoie un flic de Paris, Carlos Gomez, présumé incorruptible, pour former une équipe. Comment va se dérouler la rencontre entre les deux hommes ?
Coup d’œil : Gomez & Tavarès se situe, d’après le réalisateur, dans la lignée du genre buddy movie, genre qui met en scène en général un tandem (...)

Trois amis d’enfance n’ont qu’un rêve. Pouvoir s’offrir un costume...

– Durée : 1h30mn
L’argument : Les conditions pour survivre en Iran sont très difficiles. Un père de famille est en effet contraint de partir travailler au Koweit afin de subvenir aux besoins de sa famille. Son fils, resté en Iran, est prêt à tout pour épauler sa mère...
Coup d’œil : Le scénario du quatrième long métrage d’Ebrahim Forouzesh est adapté d’une nouvelle d’un écrivain iranien, Ali Salehi, La rivière noire. Cette nouvelle, de même que Les enfants du pétrole, et le précédent (...)

Coup d’œil : Le couple Huillet-Straub a déjà adapté deux fois des œuvres de l’Italien Elio Vittorini : Sicilia (1998), le voyage initiatique d’un homme qui part à la recherche de son enfance, et Ouvriers, paysans (2000) qui, comme Le retour du fils prodigue : Humiliés, a pour thème les lendemains de la Seconde Guerre mondiale en Italie.

Un deuxième Goncourt après Les racines du ciel pour Romain Gary, alias Emile Ajar.

Vivre sa vie sans croire au bonheur, tant bien que mal, à la lisière de l’ennui. Christophe Millois en fait un premier roman très juste mais sans grande originalité.

Un roman noir sur le business lucratif des enlèvements en Amérique latine.

Pierrette Fleutiaux parle avec délicatesse de nos sentiments face à la vieillesse de nos parents.

Les aventures colorées d’un bandit de grand chemin, poursuivi toute sa vie par un flic persévérant mais minable. Illustration réussie du "réalisme magique" propre à la littérature sud-américaine.

The Divine Comedy revient à ses anciennes amours. Bonne idée.

La révolution de la scène indé française accélérée par ce disque déstabilisant et magistral.