Depuis quelques temps je me disais que j’avais de la chance, la plupart du temps mes excursions au cinema se soldaient par un "ouais, c’est un bon film...". Mais cette fois en sortant de se troisième film de la miss Coppola je me suis dit "j’avais oublié la différence entre un bon film et un grand film". Et bien pas de doutes possible, quoiqu’en dise les critiques officielles (décidemment ces gens n’ont aucun goût dire que cette grosse bouse de Da Vinci Code a limite été mieux accueilli, ça fait vraiment peur), Marie-Antoinette est vraiment un grand film réunissant tout les ingrédients (...)

Cher Alain, Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes :-) Concernant le nettoyage du site, nous nous sommes souvent posé la question, mais il est clair qu’avoir-alire à du succès aussi grace à sa banque de données que nous développons maintenant depuis maintenant 4 ans. Nous avons donc décidé de tout garder... j’espère que vous resterez tout de même un adepte du site. à bientôt xxx david

Depuis toujours, David Lynch mixe, mélange, distord ses films avec des bandes sons inoubliables, d’une justesse et d’une pertinence étonnante avec ses images. Rappel.

National évidemment. Le 1er avril 1979 (notez la date), Gainsbourg dévoile Aux armes et cætera au cours de l’émission Top Club Dimanche. Deux mois plus tard, Michel Droit, journaliste au Figaro, crie au scandale et affirme que cette version de La Marseillaise est un outrage à l’image de la France. Attaquer Gainsbourg deviendra par la suite une obsession pour Michel Droit, ainsi que pour un bon nombre de nationalistes fascisants bien de chez nous. On se souvient du concert de Strasbourg, (...)

Toujours prêt à faire péter les plombs à ses différents producteurs, Gainsbourg avait un méthode de travail bien personnelle : l’urgence absolue. Il a composé la moitié de son premier album reggae (Aux armes et cætera) dans les 24 heures qui ont précédé son arrivée au studio d’enregistrement de Kingston (entre l’avion et sa chambre d’hôtel). Quant à la trilogie Harley Davidson, Bonnie and Clyde et Je t’aime…moi non plus, elle a été écrite en une nuit (électrique), celle du 26 au 27 mai 1967.

Elle vient de tourner dans Blow up, simplement vêtue d’un collant vert tilleul. Il la rencontre en plein Mai-68 aux studios londoniens de Pinewoods, où il tourne un bout d’essai pour Slogan. C’est un choc. Gainsbourg trouve sa muse et Birkin son mentor. Il se marieront quatre ans plus tard, en 1972 (un an après la naissance de Charlotte) et tourneront ensemble parmi les plus belles pages musicales de l’époque (Melody Nelson, Je t’aime… moi non plus, 69…). Après leur séparation en 1980, (...)

Qualificatif utilisé par le Vatican et la presse catholique lors de la sortie en 1969 de la deuxième version de Je t’aime… moi non plus, chantée
en duo avec Birkin (l’original avec Bardot, sous sa pression, ne sortira que 19 ans plus tard). Les puritains montent sur leurs grands chevaux. On raconte tout et n’importe quoi. Par exemple que Gainsbourg et Jane ont carrément fait l’amour sur la console de mixage. Jugé inaudible pour les mineurs en Italie, pornographique par le ministre (...)

Un des plus grands rendez-vous de Gainsbarre avec la provocation (pour les férus d’histoire, rappelons que ça se passait le 5 avril 1986). Une scène d’anthologie autour d’un dialogue de sourds. Drucker est rouge pivoine, Whitney Houston est offusquée et Gainsbourg est aux anges. Petit retour sur cet échange cultissime.
Drucker présente Whitney Houston, elle sort une formule de politesse.
Gainsbourg : I’d like to fuck you
Houston (en anglais) : Qu’est ce qu’il dit ? Il doit être (...)