Depuis quelques temps je me disais que j’avais de la chance, la plupart du temps mes excursions au cinema se soldaient par un "ouais, c’est un bon film...". Mais cette fois en sortant de se troisième film de la miss Coppola je me suis dit "j’avais oublié la différence entre un bon film et un grand film". Et bien pas de doutes possible, quoiqu’en dise les critiques officielles (décidemment ces gens n’ont aucun goût dire que cette grosse bouse de Da Vinci Code a limite été mieux accueilli, ça fait vraiment peur), Marie-Antoinette est vraiment un grand film réunissant tout les ingrédients (...)

Cher Alain, Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes :-) Concernant le nettoyage du site, nous nous sommes souvent posé la question, mais il est clair qu’avoir-alire à du succès aussi grace à sa banque de données que nous développons maintenant depuis maintenant 4 ans. Nous avons donc décidé de tout garder... j’espère que vous resterez tout de même un adepte du site. à bientôt xxx david

Depuis toujours, David Lynch mixe, mélange, distord ses films avec des bandes sons inoubliables, d’une justesse et d’une pertinence étonnante avec ses images. Rappel.

En 1995, Radiohead est attendu. Un album, un single (Creep) sur-médiatisé et une reconnaissance mondiale. Proclamé, bien malgré lui, dans les universités américaines comme le nouveau U2, le groupe a du mal à gérer le succès. La même année sort The Bends, son deuxième opus.

Quelle claque ! Cette nuit de 1994, Max anime comme chaque soir sa libre antenne sur Fun Radio (à l’époque, c’était encore une radio...). A son habitude, il distille quelques titres tirés de sa besace et là arrive le miracle de Glory Box. Tiré de mon lit, je note approximativement le nom d’un groupe. Portishead...

Mars 1987. Je me vois encore, sortant de la Fnac, fier comme un pape, le vinyl The Joshua Tree de U2 entre mes mains. Je me souviens de ces minutes d’insouciance. Ma dernière demi-heure avant d’être marqué à jamais par ce monstre jamais égalé du rock des années 80.

Pour l’ouverture de cette nouvelle rubrique, il fallait un monstre de la musique. Miles Davis a cette image de dieu de la trompette. En 1959, après déjà quinze ans de carrière, le virtuose offre à ses fans un monument. Même plus qu’un monument, Kind of blue est un virage décisif de la musique jazz du 20e siècle.
À l’époque, Miles Davis sort d’une période faste. Autour d’un nouveau style de jazz dont il ressent les prémisses (le jazz modal), il constitue le groupe ultime : Miles Davis (...)

Qui a osé dire que Lyon était une ville plan-plan ?