Frédéric de Vençay

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Des hommes sans loi - John Hillcoat - critique

Traitement un peu dur pour ce néo-western au classicisme assumé, qui se suit sans grande passion mais avec plaisir. John Hillcoat est un artisan que l’on pourrait qualifier d’"honnête" ("La Route", déjà, était de l’excellent boulot), et ce goût du travail bien fait se retrouve jusque dans le sujet de son film : le commerce, illicite mais rondement mené, de ses bootleggers. Photo automnale, sobriété des cadrages et reprise des invariants du genre, tout est au service d’une vision du cinéma qu’on pourra qualifier de "passéiste", mais qui apporte une indéniable respiration au genre - le film (…)

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Wrong - Quentin Dupieux - critique

Quentin Dupieux vient de réaliser son meilleur film, accomplissant ce qu’il avait partiellement raté dans "Rubber" : porter à l’écran la notion d’Absurde. Ici, le non-sens, comme rarement au cinéma, parasite tous les détails du film, au point que le scénario en apprivoise totalement la notion et trouve sa cohérence dans son incohérence même. Plus besoin, donc, de métaphores ou de mises en abyme à gros sabots, simplement de l’histoire minimale de Dolph et de son chien dans un monde qui marche sur la tête, grand délire kafkaïen (l’humour en plus) auquel on ne peut pas échapper (celui qui s’y (…)

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La vie sans principe - la critique

Pas d’accord avec cette critique. Certes, To ne fait pas dans la finesse, mais sa démarche est celle du satiriste, non du professeur de sciences économiques et sociales : alors il y a du détour par le film de genre, du scénario hénaurme tout en "hasards et coïncidences", de l’humour bien noir et bien sanglant... La mise en scène de To et son sens du rythme, d’une précision d’orfèvre, font le reste, quitte à transformer un banal champ-contrechamp (le dialogue entre la banquière et sa cliente est dément) en l’un des plus grands morceaux de bravoure à suspense de l’année. Une oeuvre (…)

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Rebelle - la critique

Le déclin en pente douce semble se poursuivre pour l’industrie Pixar, qui déçoit (relativement) à nouveau après le plutôt indigent "Cars 2". Ici, la débâcle est tout de même moindre : "Rebelle" conserve quelques marottes purement pixariennes - le volonté d’émancipation de Mérida et la marginalité comme boussole thématique, notamment, qui ne disparaissant pas totalement du dénouement, à moins d’y jeter un regard attentif. Pour le reste, même si la révision des contes de fée s’y fait avec moins de mordant (mais plus de finesse) qu’un "Shrek", même si l’on est loin du génie de "WALL.E" ou de (…)

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My best men - la critique

On a connu Stephan Elliott (un peu) plus inspiré que dans cette "comédie" moche, poussive, lourdingue et vulgaire, aux situations rebattues, dont les gags - vraiment - drôles se comptent sur les doigts... d’un doigt (le discours gentiment xénophobe de K. Bishop, à la limite). Le "british humor", dont on attendait au moins un petit quelque chose (de la vachardise, une pointe d’élégance, qui sait), en prend un bon coup dans les cornes. Quant à Newton-John, méconnaissable, mieux vaut revoir "Grease" pour en conserver un souvenir encore humain.

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Sécurité rapprochée - Daniel Espinosa - critique

Action movie banal quoique pas désagréable, Safe house est une simple rampe de lancement à la carrière hollywoodienne de Daniel Espinosa. Dommage pour le réalisateur de Easy Money.

Le concert - Radu Mihaileanu - critique

Musique et cinéma populaire font parfois bon ménage : une nouvelle preuve avec ce cocktail franco-russe détonnant. Les quelques faiblesses sont vite balayées quand grosse farce et émotion s’accordent en ré bonheur.

Et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - critique

Sergio Leone tutoie les sommets avec ce deuxième volet de sa "trilogie des dollars", quintessence d’humour noir et de western stylisé.

Il était une fois en Anatolie - Nuri Bilge Ceylan - critique

Le spectateur à encore l’occasion de se perdre dans les tréfonds de l’âme humaine en compagnie du grand cinéaste turc.

Louise Wimmer - Cyril Mennegun - critique

En collant aux basques d’une femme de ménage sans-logis, interprétée par une comédienne bluffante, Cyril Mennegun évite quasiment tous les pièges du misérabilisme et dévoile un vrai talent de cinéaste. Vivement le prochain.

Lost : bilan de la saison 6

Décevante pour les uns, époustouflante pour les autres, déroutante pour tous, la dernière saison de Lost a assuré le spectacle, sans dévoiler toutes ses clés cependant...

Le mot de la fin pour Lost

La série phare créée par J.J. Abrahams est sur le point de dévoiler tous (?) ses mystères...