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Playtime - Jacques Tati - critique

Tati filme la ville moderne, organisée jusqu’à l’absurde dans un enchevêtrement d’escaliers roulants, de véhicules qui tournent en rond, de bureaux vitrés, de bureaucratie kafkaïenne... Le personnage principal du film n’est pas Monsieur Hulot qui se perd, se retrouve et se reperd dans le dédale de la ville du futur : c’est la ville elle-même, prosopopée improbable et omniprésente. La démonstration de Tati garde toute sa force aujourd’hui ; elle est même plus que jamais d’actualité. Autant certaines œuvres du réalisateur français ont mal vieilli, autant cette version, certes (...)

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Sin City - Robert Rodriguez - critique

D’une beauté formelle incontestable, fidèle à l’œuvre originale de Frank Miller, Sin City m’a malgré tout laissé un drôle d’arrière goût après visionnage. Je m’explique : la violence, omniprésente, tourne un peu à vide au bout d’un moment. Tortures, sadisme, sang... on a le droit à un florilège de tout ce que l’être humain recèle d’horreur. Les saynètes se ressemblent un peu trop pour susciter un intérêt égal. Le film tire en longueur. Certes, Robert Rodriguez manie admirablement la caméra. Certes, l’interprétation est remarquable. Mais il manque un je-ne-sais-quoi pour faire (...)

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