Claude Rieffel

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Le quai des brumes - Marcel Carné - critique

Parfait cas d’école de mise en oeuvre scrupuleuse de recettes pour aboutir à un parfait produit fini estampillé "chef-d’oeuvre" au stade de la conception même. Tout le monde fait la démonstration brillante de son savoir faire mais rien ne respire, tout sonne faux, fabriqué, caricatural, du début à la fin. Heureusement qu’en 1938 il y avait aussi Grémillon, Renoir, Ophuls ...

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Mort d’un Cycliste - reprise d’un Grand Prix de la Critique cannois, critique

Courageux dans le contexte corseté de l’Espagne franquiste des années 50 (même le thème de la guerre civile est abordé !) et d’une indéniable valeur historique, le film de Bardem séduit par sa belle photo, son souci de réalisme documentaire et ses louables effets de style empruntés à droite à gauche (ce qui n’est pas en soi un défaut) mais n’arrive jamais à s’extraire de sa pesante gangue démonstrative pour respirer. Cela limite considérablement son impact.

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Madame Bovary - la critique de l’adaptation de Minnelli

La plus belle adaptation du roman de Flaubert reste, de très loin, celle de Renoir, chef d’oeuvre méconnu (et partiellement défiguré par un remontage qui l’a réduit de moitié) parvenant à faire revivre comme peu d’autres un monde d’avant l’invention de la photographie. La séquence des Comices agricoles en particulier, y est extraordinaire. La version de Minelli est raffinée et luxueuse mais le plus souvent bien toc et redondante malgré de beaux moments. Elle ne tient la route que grâce à l’interprétation exceptionnelle de Jennifer Jones.

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La bête humaine - Jean Renoir - critique

En s’engageant sur les rails du réalisme poétique Renoir joue le jeu avec brio et son film surclasse sans peine les chefs d’oeuvres consacrés du genre dont, à la différence d’un Carné pieusement (et talentueusement) illustratif, il met plus d’une fois à mal les pesantes conventions en obtenant de ses acteurs une justesse irréductible aux règles établies du « métier ». On peut néanmoins préférer, dans l’oeuvre du cinéaste, des films moins aboutis et « confortables » comme cette passionnante « Marseillaise » si controversée (bon signe !) et assurément inégale avec ses contradictions, ses (…)

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Tokyo Sonata - Kiyoshi Kurosawa - critique

Kiyoshi Kurosawa rend certes hommage à Ozu mais en citant une des scènes les plus brutales filmées par celui-ci (la chute dans l’escalier d’Une poule dans le vent - 1948). Il observe avec une espèce d’hébétude effarée ses personnages plonger doucement dans un drôle de cauchemar et se maintient dans un registre tragico-grotesque presque euphorique mais qui ne bascule jamais dans l’outrance. La scène finale de l’audition est un moment magique et bouleversant mais qui n’a rien d’une victoire sur le malheur. Juste une espèce de miracle fragile qui ne peut surgir qu’une fois que le fond a été (…)

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Pauvres humains et ballons de papier - la critique

Acerbe critique sociale mais aussi tout simplement chef-d’oeuvre mélancolique et léger à la fois, le dernier des trois films survivants de Sadao Yamanaka, immense cinéaste mort à 28 ans.

Gururi no koto (All around us) - la critique

Après une pause de sept ans, Ryosuke Hashiguchi revient en grande forme avec ce film inclassable qui passe brillamment du rire à l’émotion. Projeté dans le cadre du Festival Paris Cinéma avant, on l’espère, une distribution en France.

Tange Sazen et le pot d’un milion de ryo - La critique

Autour de la quête dérisoire d’un pot contenant un trésor s’agite une galerie de personnages hauts en couleur et profondément humains. Un des trois films survivants de Sadao Yamanaka, cinéaste admirable et trop tôt disparu.

Sweet little lies - La critique

Malgré un petit côté roman photo sur papier glacé ce joli film délicat sur la solitude au sein du couple distille une grâce feutrée. En compétition à Paris Cinéma.

Kimito Arukou (To walk beside you
) - La critique

Paris Cinéma braque les projecteurs sur un jeune cinéaste de 27 ans, Yuya Ishii, en programmant ses deux derniers films. Celui-ci mêle humour absurde et gravité en un cocktail sympathique mais un peu inconsistant.