Frédéric de Vençay

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Prometheus - Ridley Scott - critique

On pourrait légitimement s’énerver à constater que "Prometheus", fort d’un matraquage marketing (presque) sans précédent et d’une odeur de film culte annoncé, ait pu se monter sur un matériau de base aussi chancelant : le scénario de Lindelof et Spaihts, clairement bourré d’incohérences, de facilités et de raccourcis hénaurmes. Pour ceux qui pourraient opposer qu’il ne faut attendre, d’un spectacle comme celui-là, que sa magnificence visuelle (et elle est au rendez-vous), on pourra répondre que les ambitions (philosophiques, métaphysiques, cinématographiques) de Ridley Scott dépassent de (…)

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Le Grand Soir - la critique du film

Si on peut comprendre la sympathie (bien naturelle) qu’inspirent les deux émules de Groland et leur univers doux-dingue-anar, l’indulgence (c’est le mot... ne parlons pas non plus d’admiration) dont ils bénéficient auprès de la critique pourra laisser dubitatif. Dans "Le Grand soir", même si on apprécie a priori les acteurs (en particulier Poelvoorde, ici assez touchant, même si on l’a connu meilleur), même si on adhère a priori au discours (mais y’en a-t-il seulement un ?), on ne peut pas, en revanche, fermer les yeux sur l’indigence absolue qui est ici aux commandes, que ce soit du côté (…)

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L’assassin - Elio Petri - critique

Variation italienne du "Procès" de Kafka, qu’on sent hantée par les fantômes du fascisme, "L’Assassin" est une oeuvre étonnante qui pourra aussi évoquer, quoiqu’à une échelle plus réduite, des fictions paranoïaques comme "1984" et "Monsieur Klein". Marcello Mastroinanni y compose un double charmeur et hâbleur de Joseph K. A son exemple, le film adopte un ton subtil entre comédie de l’Absurde et drame policier, révélant une gravité de plus en plus profonde au fur et à mesure que son personnage plonge en lui-même et s’y découvre des failles. La mise en scène et le montage, d’une étonnante (…)

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Captive - Isabelle Huppert dans les mains du terrorisme, critique...

Difficile de dégager le moindre point de vue, qu’il soit esthétique ou politique, dans cette interminable prise d’otage dans une nature tour à tour réaliste et animiste (la curieuse séquence foirée du perroquet géant). Mendoza, que l’on a pu connaître plus rageur et moins indolent, parvient à nous désintéresser presque totalement du sort de ses captifs, malgré la force des situations qu’il met en images (assaut d’un hôpital, mariages forcés, abandon des otages mourants...), mais pas "en scène" ou "en situation". Un étonnant ratage.

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Confession d’un enfant du siècle - la critique

La meilleure blague de l’année, qui fonctionnerait à fond si Verheyde ne se prenait pas tant au sérieux. D’une mollesse à toute épreuve, "Confession..." est une enfilade de séquences "Instagram" qui reprend, avec un manque d’imagination hallucinant, toute l’imagerie éculée d’un XIXe siècle fantasmé par notre époque (orgies débauchées et cotonneuses, errances dans une campagne bercée par le galop des chevaux et le pépiement les oiseaux...). Plus grave, le film entier est guidé par une série de fausses bonnes idées avec, en tête, celle de confier le rôle du dandy torturé par son soi-disant (…)

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Les affranchis - Martin Scorsese - critique

Emblématique du cinéma de Scorsese et du film de gangsters de ces dernières décennies, Les affranchis est une fresque criminelle d’une précision minutieuse et d’une sauvagerie à couper le souffle.

Un balcon sur la mer - la critique

Le dernier Nicole Garcia renoue avec les thèmes fétiches de la cinéaste, mais rejoint immanquablement cette catégorie de "films d’auteur français" manquant de passion et d’étincelles. Dommage pour Dujardin.

Van Gogh - Maurice Pialat - critique

Pialat s’approprie la figure de l’artiste sans la mythifier, et en tire un portrait sec, poignant et intimiste. Jacques Dutronc est superbe.

Astérix et Obélix contre César - Claude Zidi - critique

Entre superproduction européenne et comédie française pantouflarde, le premier Astérix ciné est un spectacle familial sans risques et sans surprises. Pas désagréable, mais un peu inconsistant.

Merci pour le chocolat - Claude Chabrol - critique

Faussement lisse, vraiment cruel, délicieusement ambigu : l’un des derniers (très) bons films de maître Chabrol.

Lost : bilan de la saison 6

Décevante pour les uns, époustouflante pour les autres, déroutante pour tous, la dernière saison de Lost a assuré le spectacle, sans dévoiler toutes ses clés cependant...

Le mot de la fin pour Lost

La série phare créée par J.J. Abrahams est sur le point de dévoiler tous (?) ses mystères...