Jean-Patrick Géraud

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Cannes 2014 : Maps to the stars - la critique du David Cronenberg

D’accord avec Frédéric. Le film brosse le portrait sans concession d’un monde hermétique, ultra normé et très opaque. Au point que même les extérieurs jour sont d’une noirceur saisissante. Ce qui est virtuose, c’est la manière dont Cronenberg retravaille de vieux motifs tragiques (amours incestueuses, fatalité, etc.) pour évoquer la réalité d’une industrie décadente, nourrie seulement par ses modèles et ses vieux fantasmes. Quant à savoir si le portrait est fidèle, c’est une autre affaire ; peu importe après tout (on a quand même vu récemment que les affaires de moeurs étaient bien vite (...)

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Her - la science-fiction selon Spike Jonze, critique
A découvrir ce soir sur CINE+ Club à 20h45

C’est un très beau film sur la solitude moderne. Theodore vit ce que chacun de nous peut ressentir dans la grande ville, ce besoin presque instinctif d’aller vers l’autre tout en voulant s’isoler pour se donner le temps de réfléchir, le choix d’attendre... Sauf que derrière l’attente il y a la peur du vide, l’angoisse de la mort aussi, qui sont suggérées dans le film en filigrane, par accords mineurs, et qui lui insufflent cette espèce de tristesse poétique que l’on rencontre effectivement dans les films de Sofia Coppola. J’aime aussi les seconds rôles, surtout Rooney Mara, qui hante la (...)

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Ted - Seth MacFarlane - critique

Bien d’accord avec cette critique. Question rythme, je trouve que le film fonctionne bien dans les 45 premières minutes, grâce à ses dialogues énergiques. Après, le scénario se prend au sérieux et évolue vers une histoire d’amour mollassonne.

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Les Amants passagers - la critique du film

Almodovar se paie un trip de première classe avec ce film sans grande prétention, délibérément cocasse et ludique, mais qui manque effectivement de goût. Le second degré ne fonctionne pas toujours, et le film est parasité par des séquences inutiles.

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Gatsby le magnifique - Baz Luhrmann - critique

Adaptation baroque et kitsch à souhait. Luhrmann a le sens du tragique et sait donner de l’épaisseur à ses personnages. Mais ce qui marchait pour Moulin Rouge (à mon avis le meilleur film de ce cinéaste) ne fonctionne plus ici, car le tragique est dilué dans les longueurs, les scènes lourdement démonstratives (ex. celle de l’hôtel, où les deux rivaux exposent les enjeux du conflit) et les intrigues secondaires.

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Ballade pour une reine - la critique + le test DVD

Un documentaire pertinent et ludique sur le règne d’Elisabeth II

Festival de Berlin 2012 - le palmarès

La 62e édition de la Berlinale a récompensé les frères Taviani pour leur documentaire Cesare Deve Morire

Au pays du sang et du miel - la critique

Racoleur et lourdement didactique malgré de bonnes intentions, le premier film d’Angelina Jolie est un pamphlet caricatural contre la guerre, doublé d’un éloge maladroit de l’interventionnisme made in USA

Howl - la critique

En dépit d’un certain intérêt documentaire, Howl s’empêtre lourdement dans le didactisme.

Un monde sans femmes - la critique

Révélation de ce début d’année, Guillaume Brac signe avec un monde sans femmes une oeuvre personnelle et aboutie

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable