Sur le volcan de la Seconde Guerre mondiale, plumes, strass et petites pépées dénudées pour un spectacle brillant et enlevé.

Une fois encore, nos rédacteurs ciné sont partagés. Alors, La nina santa, film plein de sensualité ou ramassis de clichés ?

A voir absolument pour le segment miraculeux et hypersensible de Wong Kar-wai.

Un conte fragile et placide dont la zenitude confine peu à peu à la grande sieste molletonnée.

Entre tentatives expérimentales et vagabondage fumeux, un premier film envoûtant mais un rien creux.