Dans le cadre d’une série de concerts consacrés aux musiques des films du maître du suspense, la Philharmonie de Paris a eu la très bonne idée de donner à voir et à entendre The Lodger, Les Cheveux d’or, en version française (1926).

Une trentaine d’architectes prestigieux ont répondu à l’invitation de Tina Dassault (curatrice), à venir réaliser une création éphémère sur le sable des plages deauvillaises. Pour nous faire partager leurs interventions, le livre et l’exposition, Archisable, présentent ces moments magiques, immortalisés par les photographies de Michel Tréhet.

Les vies des 4, 3, 2, 1, héros du nouvel Auster, sont en fait les quatre trajectoires rêvées et entrecroisées d’une seule et même personne, M. Archie Ferguson. Après sept ans de silence littéraire, Paul propose un canevas aussi subtil que déroutant, pour dépeindre à travers son personnage multiple, l’histoire américaine du XXème siècle et cette ville amplifiante qu’est New York.

Enquête de police sur un réseau qui produit des snuff movie. Des jeunes filles en mal d’expériences underground se font kidnappées par un bourreau psychopathe qui vend les vidéos sur le dark web.

Stéphane Guillon, saltimbanque de la roulotte, nous emmène dans ce livre, en coulisses des plateaux de télévision, où certains voudraient bien, à force de moqueries imparables, qu’on leur amena sa tête.

Etienne, jeune français admiratif du cinéaste italien Federico Fellini, trouve le moyen de frayer dans l’entourage romain de son idole alors en plein tournage de La Cité des femmes..

Existe-t-il un gène vocal dans la famille McFerrin ? On connaissait les interprétations a cappella du père Bobby, voici dans la lignée soul, la petite Madison. Cette jeune new-yorkaise nous fait entendre ses compositions chorales au Supersonic à l’occasion du Picthfork Festival.

Pour la sortie de leur nouvel album, le jeune quatuor à cordes Hermès donnait à entendre un florilège de Ravel, Dutilleux, Debussy, dans les profondeurs feutrées du Silencio.

André Manoukian, petit-fils d’expat’ arménien, présente son album "Apatride" et hisse pour un soir le Trianon au sommet de l’Ararat*.

Geisha lounge, Agnès Gayraud l’interprète de La Féline, dévoile sa sensibilité contenue de chanteuse pop sur lit de riffs névrotiques.