Claude Rieffel

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

21 films notés

22 avis de film

TV

0 série TV à voir

0 série TV vue

0 série TV notée

0 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Désir(s) (Sehnsucht) - la critique contre

Valeska Grisebach a intégré dans le scénario de son deuxième long-métrage (après Mein Stern, 2001) des éléments d’une enquête réalisée à Berlin et alentours auprès de trentenaires interrogés sur leurs aspirations, leurs rêves, leurs désirs (leurs Sehnsüchte). Le tournage lui-même a duré plus d’un an (entre mars 2003 et mai 2004), inscrivant su la pellicule le passage du temps et les saisons. Ne cherchant pas à forcer l’empathie, mais avec la juste distance d’un regard de documentariste attentive et respectueuse, la cinéaste observe le travail du forgeron, une répétition de la chorale, (…)

Lire la suite

Médée Miracle - la critique

On ne sort pas totalement indemne de la vision du nouvel opus de l’auteur de Rosa Tigre (pas tout nouveau puisqu’il date de 2007), car s’il est expérimental c’est au sens de l’expérience concrète, éloignée de tout intellectualisme et libre de discours préconçu comme de message politique ou mystique. Tonino De Bernardi observe avec une désarmante et merveilleuse simplicité la rencontre du mythe avec le quotidien d’une banlieue parisienne révélée à sa surprenante beauté ; celle, véritable, qui intègre la laideur. Car en baroque authentique, le cinéaste, proche à la fois de Schroeter et (…)

Lire la suite

Les coquelicots

Il est certain que le film est un peu handicapé par son scénario, tiré d’une pièce de théâtre de 1907, qui assigne à chaque personnage un rôle trop déterminé et tend à les réduire à la fonction de porte-parole. Pourtant, et en dépit de l’état précaire de la copie, on est bouche bée face à la respiration que Mizoguchi parvient à insuffler même aux scènes les plus ingrates à filmer. La grâce chorégraphique des mouvements de caméra, de saisissants champs/contre-champs, et, plus encore, la subtile organisation de l’espace et des déplacements dans le plan provoquent un frémissement qui permet (…)

Lire la suite

La forêt oubliée

On peut comprendre que cette oeuvre déroutante, qui refuse catégoriquement toute ombre de conflit (et donc de tension) et affiche (assume) une désarmante naïveté, puisse agacer un spectateur habitué à voir des films sollicitant son attention de manière plus énergique. Pourtant, pour qui acceptera de déposer les armes, cette vision apaisée d’un monde où morts et vivants cohabitent et où deuil et douleur ont été surmontés imposera vite sa tranquille évidence. Un humour discret, fait d’attention aux êtres et aux choses, et la célébration jamais solennelle de la beauté du monde par le biais (…)

Lire la suite

Coffret Masahiro Shinoda

Fleur vénéneuse Les quatre films sont magnifiques mais le plus sidérant reste quand même "Fleur pâle" , film de yakusas certes, mais surtout plongée vertigineuse et voluptueuse dans l’enfer du jeu avec ses personnages en proie à la tentation irrésistible de se perdre.

Lire la suite

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Cinq femmes autour d’Utamaro - La critique

Cet autoportrait de l’artiste en peintre d’estampes du 18ème siècle célèbre l’art éphémère, l’amour sans demi-mesures, et la fragilité du monde flottant.

Entlassen auf Bewährung (Libéré sur parole) - La critique

Un film policier à thématique sociale, efficace et remarquablement bien réalisé, qui échappe en partie à la langue de bois idéologique et offre une vision pas trop idéalisée de la société est-allemande des années soixante.

J’aime, tu aimes - La critique + Le test DVD

Joliment bariolée et poétique, cette comédie amère, doucement dépressive, est longtemps restée au placard avant avant d’être primée à Berlin en 1989.

Images du vieux monde - La critique + Le test DVD

Dans ce magnifique essai documentaire et poétique Dušan Hanák capte le quotidien et les rêves de vieux paysans des Tatras en prolongeant le travail du photographe Martin Martinček .

322 - La critique + Le test DVD

Le premier long-métrage de Dušan Hanák, très bel essai poétique, est une vraie découverte qui confirme la richesse du cinéma slovaque dans les années 60 et 70.