Claude Rieffel

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Désir(s) (Sehnsucht) - la critique contre

Valeska Grisebach a intégré dans le scénario de son deuxième long-métrage (après Mein Stern, 2001) des éléments d’une enquête réalisée à Berlin et alentours auprès de trentenaires interrogés sur leurs aspirations, leurs rêves, leurs désirs (leurs Sehnsüchte). Le tournage lui-même a duré plus d’un an (entre mars 2003 et mai 2004), inscrivant su la pellicule le passage du temps et les saisons. Ne cherchant pas à forcer l’empathie, mais avec la juste distance d’un regard de documentariste attentive et respectueuse, la cinéaste observe le travail du forgeron, une répétition de la chorale, (…)

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Médée Miracle - la critique

On ne sort pas totalement indemne de la vision du nouvel opus de l’auteur de Rosa Tigre (pas tout nouveau puisqu’il date de 2007), car s’il est expérimental c’est au sens de l’expérience concrète, éloignée de tout intellectualisme et libre de discours préconçu comme de message politique ou mystique. Tonino De Bernardi observe avec une désarmante et merveilleuse simplicité la rencontre du mythe avec le quotidien d’une banlieue parisienne révélée à sa surprenante beauté ; celle, véritable, qui intègre la laideur. Car en baroque authentique, le cinéaste, proche à la fois de Schroeter et (…)

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Les coquelicots

Il est certain que le film est un peu handicapé par son scénario, tiré d’une pièce de théâtre de 1907, qui assigne à chaque personnage un rôle trop déterminé et tend à les réduire à la fonction de porte-parole. Pourtant, et en dépit de l’état précaire de la copie, on est bouche bée face à la respiration que Mizoguchi parvient à insuffler même aux scènes les plus ingrates à filmer. La grâce chorégraphique des mouvements de caméra, de saisissants champs/contre-champs, et, plus encore, la subtile organisation de l’espace et des déplacements dans le plan provoquent un frémissement qui permet (…)

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La forêt oubliée

On peut comprendre que cette oeuvre déroutante, qui refuse catégoriquement toute ombre de conflit (et donc de tension) et affiche (assume) une désarmante naïveté, puisse agacer un spectateur habitué à voir des films sollicitant son attention de manière plus énergique. Pourtant, pour qui acceptera de déposer les armes, cette vision apaisée d’un monde où morts et vivants cohabitent et où deuil et douleur ont été surmontés imposera vite sa tranquille évidence. Un humour discret, fait d’attention aux êtres et aux choses, et la célébration jamais solennelle de la beauté du monde par le biais (…)

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Coffret Masahiro Shinoda

Fleur vénéneuse Les quatre films sont magnifiques mais le plus sidérant reste quand même "Fleur pâle" , film de yakusas certes, mais surtout plongée vertigineuse et voluptueuse dans l’enfer du jeu avec ses personnages en proie à la tentation irrésistible de se perdre.

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Pauvres humains et ballons de papier - la critique

Acerbe critique sociale mais aussi tout simplement chef-d’oeuvre mélancolique et léger à la fois, le dernier des trois films survivants de Sadao Yamanaka, immense cinéaste mort à 28 ans.

Gururi no koto (All around us) - la critique

Après une pause de sept ans, Ryosuke Hashiguchi revient en grande forme avec ce film inclassable qui passe brillamment du rire à l’émotion. Projeté dans le cadre du Festival Paris Cinéma avant, on l’espère, une distribution en France.

Tange Sazen et le pot d’un milion de ryo - La critique

Autour de la quête dérisoire d’un pot contenant un trésor s’agite une galerie de personnages hauts en couleur et profondément humains. Un des trois films survivants de Sadao Yamanaka, cinéaste admirable et trop tôt disparu.

Sweet little lies - La critique

Malgré un petit côté roman photo sur papier glacé ce joli film délicat sur la solitude au sein du couple distille une grâce feutrée. En compétition à Paris Cinéma.

Kimito Arukou (To walk beside you
) - La critique

Paris Cinéma braque les projecteurs sur un jeune cinéaste de 27 ans, Yuya Ishii, en programmant ses deux derniers films. Celui-ci mêle humour absurde et gravité en un cocktail sympathique mais un peu inconsistant.