Fabrice Prieur

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Le bon dieu sans confession - Claude Autant-Lara - critique

Lors des obsèques d’un homme d’affaires, ses proches se remémorent sa vie. Un drame noir à la construction originale, où Henri Vilbert et Danielle Darrieux dominent une belle distribution.

Du rififi chez les hommes - Jules Dassin - critique cinéma

Un vieux truand, atteint de la tuberculose, se voit proposer un coup exceptionnel, alors qu’il sort tout juste de prison. L’Américain Jules Dassin magnifie le film noir à la française et intègre dans le récit une séquence de casse fondée sur une mise en scène éblouissante.

Convoi exceptionnel - Bertrand Blier - critique

Deux hommes se rencontrent dans la rue. L’un des deux qui suit les indications d’un scénario, selon ses dires, essaie d’entraîner l’autre. Malgré quelques réminiscences, un film poussif et approximatif de Bertrand Blier, que l’on a connu plus inspiré .

Docteur Folamour - Stanley Kubrick - critique

Atteint de folie paranoïaque, un général américain décide de son propre chef de lancer une attaque contre L’URSS. Stanley Kubrick imagine la catastrophe nucléaire ultime et la réalise avec un cynisme cocasse.

Belles mais pauvres - Dino Risi - critique

Les deux compères Romolo et Salvatore sont désormais fiancés, chacun avec la sœur de l’autre. Toujours facétieux, ils ne parviennent pas trouver d’emploi stable. Suite de Pauvres mais beaux (1956) du même Dino Risi, avec une semblable équipe de comédiens et qui s’intègre dans une trilogie qui se conclura par Pauvres millionnaires, en 1959.