Frydman Charles

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Remorques - Jean Grémillon - critique

La prière à la fin du film m’intrigue. Elle évoque surtout l’ancien testament. La litanie qualifiée quelquefois de "prière de délivrance" ( ciné club de Caen) se retrouve dans les differentes versions du "rituel romain" : "...Comme Enoch de la mort commune aux hommes Délivrez l’âme de votre servante Comme Noé du déluge Delivrez seigneur delivrez Délivrez l’âme de votre servante Comme Issaac de son père Comme vous avez délivré Moïse de Pharaon roi des egyptiens Delivrez Seigneur L’âme de votre servante Comme vous avez délivré Daniel de la fosse aux lions et les trois hébreux Et les (...)

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Panique - Julien Duvivier - critique

Ma fiancée du Perreux-sur-Marne Sans doute la meilleure adaptation du roman de Simenon "les fiancailles de monsieur Hire". Des fiançailles matérialisées dans le film Panique par un voyage romantique dans une barque vers une île . Dans le film Panique (1946) ,monsieur Hire alias monsieur Varga invite Alice à un simulacre de fiançailles dans sa maison à l’ile-des-loups ,attachée aux communes de Nogent le-Perreux. Il considère ensuite Alice comme sa fiancée alors qu’elle est en fait fiancée à Emile, l’assassin de Melle Noblet. Les villageois considerent Alice comme la fiancée de Mr Hire (...)

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Peur sur la ville - Henri Verneuil - critique

Le film "peur sur la ville" fait allusion à la divine comédie de Dante. J’ai lu plusieurs commentaires de la divine comédie , l’enfer, qui considèrent Minos comme une sorte d’allégorie de la conscience humaine.https://temporel.fr/La-Divine-comedie-de-Dante-une on y lit " Il est la voix de la conscience, et pour cela, se tient aux portes de l’enfer. Voyant au-delà des apparences, incitant chacun à renouer avec son être profond, il représente le combat entre la loi et sa transgression. " Un monstre" à l’aspect humain en quelque sorte. Dans le film "peur sur la ville" (1976) avec Jean-Paul (...)

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Mourir d’aimer - André Cayatte - critique

André Cayatte brouille les cartes dans ce film. Un carton au début fait croire que les personnages ne ressemblent à aucun personnage existant ou ayant existé alors que le film est inspiré d’une histoire vraie. Il brouille les cartes au début du film lorsque 2 voitures de pompiers et une voiture de police sillonnent la ville comme si une catastrophe s’était produite à Rouen. En fait Danielle vient de se suicider au gaz et il faut éviter une explosion qui pourrait faire de nombreuses victimes et détruire en partie l’immeuble. Une mystérieuse jeune femme attend en bas de l’immeuble et les (...)

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Monsieur Klein - Joseph Losey - critique

A 55 mn 50 s la longue diatribe du grand père dans sa grande sagesse évoque sa conception de l’indifférence, et résumé assez bien la morale du film : L’indifférence, c’est Comme une mer immobile et plate autour d’un homme qui se noie C’est comme un troupeau de mouton qui broute l’herbe parmi le ruines d’un village C’est comme un ver qui se promène sur une blessure putrefiée Non, on peut être avare, égoïste, et tout à condition d’être conscient ....... Son petit fils Robert Klein renchérit C’est comme un vautour transpercé d’un ne flèche et qui continue de voler. Du ver qui se (...)

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Le diable au corps - Raymond Radiguet - critique livre

L’œuvre de Radiguet baigne dans un certain flou artistique, quand au lieu ou se situe l’action .les ville de banlieue F… et J… ne sont jamais précisées. D’ ailleurs les situer tiendrait de la quadrature du cercle. C’est sans doute mieux ainsi et cela laisse place à l’imagination. Deux villes des bords de Marne synonymes de « l’héroïsme de tout un peuple » , cette Marne si douce que Radiguet aimait tant .Un rendez-vous amoureux a F… poserait quelques problèmes. « -Rejoins-moi a F…-J’accours, mais comment rejoindre F… ?-Tu prends la route-surprise. » Excusez l’enchaînement , mais il est (...)

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