Jean-Patrick Géraud

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Scream 4 - Wes Craven - critique

Ironie, cruauté, humour noir... on retrouve bien dans Scream 4 tout ce qui faisait la force des précédents épisodes. Il est vrai que le scénario ne s’embarrasse plus de vraisemblance et que l’utilisation des nouveaux médias n’est pas complètement mise à profit (à quoi sert la caméra cachée dans la scène du "meurtre" de Gale ?). Wes Craven abuse parfois du second degré (la réplique du flic agonisant, "fuck Bruce Willis", constitue une vraie maladresse), mais son film a le mérite de poser une question essentielle : le cinéma peut-il encore faire peur ? La réponse, bien entendu, est à (…)

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Essential killing - La critique

L’homme est un loup pour l’homme : la formule est galvaudée, mais rarement elle a été illustrée avec autant de force que dans ce film qui pourrait rappeler, à certains égards, le Délivrance de Boorman. Gallo et Seigner, entre le mime et l’animal, campent à merveille un drame qui pousse à son paroxysme le portrait d’un monde où la cruauté, le fanatisme, la guerre ont ravagé jusqu’à l’hypothèse d’une civilisation. Certaines séquences (Gallo harcelé par des chiens) sont vertigineuses, d’autres un peu lentes, mais l’ensemble est épatant.

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Une séparation - Asghar Farhadi - critique

Les séparations sont nombreuses dans ce film qui, à partir d’un argument simple, opère une succession de détachements vertigineux. Séparation de Simin et Nader, du fils et de son père, de Simin et de sa fille... le film décline autant que possible le postulat initial d’un déchirement pour mieux insister, au-delà des raisons de chacun, sur une même difficulté commune à assumer les conséquences de ses choix. Farhadi compose ainsi une oeuvre dense où chaque individu porte en lui la responsabilité d’un drame collectif. Les personnages sont traités sans pathos, avec une simplicité et une (…)

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Animal Kingdom - la critique

Passionnante réflexion sur l’instinct de survie et sur la reproduction sociale, Animal Kingdom doit beaucoup à son réalisme et à sa précision journalistique. Mais il en adopte aussi les travers, notamment par une tendance trop lourde à appuyer la noirceur de son argument. Reste un premier film singulier et prometteur.

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Somewhere - Sofia Coppola - critique

Somewhere constitue sans doute un point limite. La thématique du "rien", qui a fait la gloire de Sofia Coppola, peine ici à retrouver l’éclat de ses précédents films. Et pourtant, Somewhere ne déçoit pas. Drôle, subtil dans l’évocation du rapport père / fille, il confirme la singularité de Sofia Coppola dans le paysage cinématographique actuel. Une singularité précieuse, et qui n’en finit pas de redonner au terme "poésie" toute sa portée.

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Trois coeurs - la critique du film

Benoît Jacquot réalise un film inégal mais servi par de bons acteurs.

Mange tes morts - la critique

A la croisée des genres filmiques, Mange tes morts s’impose comme une oeuvre crépusculaire, poétique et audacieuse

Boro in the Box et Living still Life - la critique de deux moyens métrages surréalistes

Deux films qui proposent une même expérimentation fascinante et s’offrent comme un manifeste poétique.

Après la nuit - la critique

Une oeuvre crépusculaire et intense, qui filme au plus près la solitude de son héros désemparé.

Noé - Darren Aronofsky - critique

Une odyssée spectaculaire quoiqu’un peu redondante, où les morceaux de bravoure alternent avec des scènes parfois convenues et un peu fades.

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable