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Saw 6 - la critique

Le sixième Saw s’offre une cure de jouvence grâce à une thématique bien plus intéressante que d’habitude. On note une virulente critique du capitalisme américain à travers cette histoire d’assurances qui cherchent les vices de forme dans les contrats pour éviter de payer les frais médicaux de leurs clients. Jigsaw n’a jamais été autant un justicier que dans cet opus où la violence est encore une fois extrême, mais où les enjeux humains sont bien plus forts qu’auparavant. La réalisation correcte achève de faire de Saucisse un des meilleurs de la série.

Halloween 2 - la critique + test DVD

Un début prometteur qui reprend exactement le scénario du Halloween 2 des années 80 vient s’arrêter au bout de 25 minutes et bou c’était un rêve. Dans le genre déception monumentale, on fait pas mieux. Dès lors commence un deuxième film, tout pourri celui-là, avec des personnages inconsistants, laids, mal filmés et une critique des médias d’une lourdeur éléphantesque. Au milieu de tout cela, Michael Myers est un clodo dont on ne cesse de voir le visage, tandis qu’il rêve à sa mère. Le retournement de situation final, grotesque, achève le spectateur. On comprend mieux pourquoi une telle (…)

Wall Street : l’argent ne dort jamais - Oliver Stone - critique

Si l’analyse que fait Oliver Stone des dérives du système est tout à fait pertinente, faisant encore preuve d’une belle contestation du capitalisme, cette suite apparaît comme moins cynique que le précédent. L’erreur est d’avoir trop centré le film sur les affaires de coeur du trio principal. De même, le happy end final vient gâcher in extremis une fin qui, jusque là, était belle dans toute sa cruauté. Pertinent donc, mais pas abouti.

Monsters - la critique

Etrange pellicule que ce Monsters présenté comme un clone de District 9. En réalité, le film est moins efficace, mais bien plus poétique, notamment dans sa très belle dernière partie qui fait songer à The mist. Foncièrement inégal, Monsters demeure un film attachant et finalement plus étonnant que prévu initialement.

Les 7 jours du Talion - la critique

D’une brutalité quasiment insoutenable, les 7 jours du talion sous ses dehors de Rape and revenge facho prend à revers la thématique pour mieux confronter les personnages à la réalité crue de la vengeance. Un film fort et sans concession à placer du côté du cinéma d’un Michael Haneke. Tétanisant.

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Le coeur a ses raisons, saison 1 - la critique

Sans nul doute le plus grand éclat de rire de ces dernières années. Tous ceux qui aiment l’humour absurde des ZAZ doivent impérativement se précipiter sur ce monument qui n’a même pas réussi à se frayer un chemin dans les grilles des programmes télé, pourtant si peu friands en oeuvres de qualité. Hilarant.