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Titanic - James Cameron - critique

"Titanic" révéla à la génération montante de la fin des années quatre-vingt dix ce que Germinal avait déjà fait quelques temps auparavant. Le microcosme révélateur du fonctionnement de nos sociétés. Une différence de classes impitoyable atténuée par quelques parcelles de naturel, de spontanéité et d’opportunisme fusionnant inconditionnellement avec le besoin d’exister en côtoyant de véritables perceptions. Ceci sur un site laboratoire luxueux ou spartiate en fonction de ses origines. Sédentaire et cloisonné destiné aux indifférences, aux lâchetés ou aux morceaux de bravoures (...)

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Jamais le dimanche - la critique

Aristote est archivé. La nouvelle Grèce opte pour la liberté de s’éclater ou de se partager dans des situations débridées à des années lumières d’une philosophie obsolète. Ylia prostituée et fière de l’être s’assume dans un métier choisi exercé dans une joie de vivre permanente. L’intellectuel en perte de repères venant se ressourcer au pays de Socrate se retrouve capturé par la nonchalance d’un peuple se moquant bien de toutes ces théories dépassées faisant d’un esprit l’esclave d’une éthique. Le grec managé par une femme charismatique et indépendante s’avère convivial, (...)

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Le village des damnés - la critique

Pas folichon ce film ou Georges Sanders commence à amorcer gentiment sa descente vers l’anonymat. Pas de vibrations ni d’effrois dans ces scènes laborieuses de récupérations momentanées d’esprits par des enfants dont l’un pense ce que pensent les autres et réciproquement. Ca se regarde sans pression en arrosant ses fleurs ou en consultant la rubrique mondaine de son quotidien préféré. L’idée d’inverser les rôles en donnant l’intelligence supérieure, la force, l’indépendance, la dominance à des enfants ayant droit de vie ou de mort sur des adultes effrayés aux bottes de cette (...)

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Le procès - Orson Welles - critique

« Porter des chaînes est parfois plus sur que d’être vivant » K est ciblé, laminé puis éliminé par un ou plusieurs pouvoirs anonymes munis de forces destructives broyant un organisme de défenses harcelé par des interrogatoires uniquement basés sur l’auto persuasion d’un mal en soi. Le complexe de culpabilité s’entretient dans des décors démesurés. Un processus d’extermination comprime un homme dans des pièces basses de plafonds pour soudainement le projeter dans des salles gigantesques robotisées ou accusatrices jumelées à un Adagio répétitif. Il faut atteindre péniblement des (...)

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Le Guépard - la critique

Bourgeoisie bouillonnante et aristocratie conservatrice s’affrontent dans une fresque chatoyante dans les palais, sanguinaire sur le pré. Le prince Salina fatigué par la piété d’une femme se signant avant chaque étreinte toise un avenir naissant plus convivial représenté par un rire féminin extrait naturellement libérant une dentition privée d’éventails protecteurs. L’aristocrate menacé doit s’intégrer dans un temps fabricant de nouveaux bourgeois avides de propriétés terriennes. Les dernières fresques d’un monde sur le déclin se meurent en contemplant la disparition de l’habit de (...)

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