Julien Dugois

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

2 films notés

5 avis de film

TV

0 série TV à voir

0 série TV vue

0 série TV notée

0 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Her Smell - la critique du film

Oups, grosse gaffe ! Merci de m’en avoir averti peu de temps après la publication de l’article. Maintenant que j’ai corrigé, je vais être hanté par l’idée de comprendre ce qui m’a rendu convaincu que le film avait été réalisé par une femme. C’est vrai que le prénom Alex n’est pas forcément masculin, mais ça ne peut pas être que ça. Je vais me replonger dans le dossier de presse, voir si je retrouve l’élément qui a pu me mettre ça en tête. Encore merci.

Lire la suite

Cannes 2018 : Le Poirier Sauvage - la critique du film

Noémie, merci de votre retour. En vous lisant je me suis également demandé où j’ai pu évoqué un drapeau tunisien, et pourtant c’est bien ce que j’ai écrit. Comme quoi, j’étais vraiment crevé à la fin du Festival. C’est regrettable que personne ne me l’ai fait remarquer plus tôt.

Lire la suite

BlacKkKlansman (J’ai infiltré le Ku Klux Klan) - la critique du film

Bonjour Fanfan, Je n’ai plus d’information sur les étapes d’écriture ni sur la part des producteurs dans celle-ci. Je ne peux pas vous en dire plus.

Lire la suite

Cannes 2018 : Solo, a Star Wars Story - la critique du film

Je ne peux pas laisser passer l’idée que ce film soit supérieur aux épisodes de la prélogie. Même si ils ont leurs défauts (entre Jar Jar Binks et des incrustations sur fond verts qui ont mal vieillis), ils sont porteurs de toute une réflexion politique et religieuse fascinante. Imaginer que les jedis comme une simple institution politique qui a, à ce point perdu la foi en la Force que son recrutement se fait par une prise de sang, pose des questions profondes sur la légitimité de sa défaite face à un "coté obscur" qui, à l’inverse, repose sur une croyance mystique très forte. Ça remet (...)

Lire la suite

LBJ - la critique du film

L’homme que je qualifie d’intègre est le personnage du film. Moi aussi j’aurai préféré un film qui ose sous-entendre que le vice-président fut impliqué dans l’assassinat de JFK. Ce n’est pas le cas mais ça ne m’empêche de trouvé l’angle d’approche intéressante.

Lire la suite

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Mon cher enfant - Mohamed Ben Attia - critique

Un mélodrame délicat sur le thème du terrorisme qui nous interroge sur le manichéisme avec lequel on a trop souvent l’habitude de réduire ce phénomène. Le scénario tumultueux et imparfait en diminue toutefois la portée.

Cannes 2018 : Asako I & II - la critique contre

Asako est amoureuse. De l’homme avec qui elle est en couple autant que de cette icône populaire avec qui elle a autrefois eu une passade éphémère. A partir de là, le film semble n’avoir pas grand chose à raconter, pas même la résolution de ce dilemme.

Diamantino - la critique du film

A trop jouer avec des images kitsch, l’humour aussi en devient quelque peu daté. Quand on veut parler des sujets les plus graves de l’actualité, ce n’est certainement pas la meilleure approche.

Sophia Antipolis - la critique du film

Un discours sur notre époque, nihiliste et alarmiste, toujours plus glaçant, qui relève de l’expérience alternative où le rythme balbutie et la réalité du documentaire questionne.

Cannes 2018 : The House That Jack Built - la critique contre du film de Lars von Trier

Propager l’argument « violence insoutenable » que l’on accole à ce film, qui n’a de choquant qu’un crâne explosé, deux enfants abattus d’une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d’insoutenable, c’est assurément sa vacuité.

Le Nom de la Rose - critique de la mini-série

Ce mardi 5 mars, soit le lendemain de la première diffusion sur la Rai, OCS Max a diffusé les deux premiers épisodes du Nom de la Rose. Le moins qu’on puisse dire est que cette adaptation du roman d’Umberto Eco sous forme de mini-série ne rivalise pas avec celle qu’en avait fait Jean-Jacques Annaud il y a 33 ans.