Julien Rocher

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Bugonia - Yórgos Lánthimos - critique

Avec Bugonia, Yórgos Lánthimos signe la fin d’un cycle et l’apogée de son cinéma, porté jusqu’à ses limites les plus vertigineuses. Dans cette fable abracadabrante où s’opposent un complotiste halluciné et une technocrate anesthésiée, se déploie la bataille des idéologies, où l’incommunicabilité devient le moteur d’une chute universelle.

La chambre d’à côté - Pedro Almodóvar - critique

La chambre d’à côté est le memento mori d’Almodóvar. C’est aussi la reviviscence d’un cinéaste qui, en filmant la Mort comme un baiser languissant, une porte entrouverte vers l’élévation par l’Art, compose un récit subjuguant sur la cannibalisation des êtres, prisonniers de leurs propres fictions, comme autant de mirages enveloppants.

Eleanor The Great - Scarlett Johansson - critique

Eleanor The Great est un cri feutré, un mélodrame d’une tendresse acide sur le gouffre qu’ouvre la solitude et l’obsession de le combler, quitte à s’y perdre. Scarlett Johansson effleure la douleur comme on caresse une brûlure : avec pudeur et intensité. Et June Squibb, traversée par la grâce, insuffle au film une élévation presque sacrée.

L’Étranger - François Ozon - critique

S’emparant du roman de Camus pour en proposer une transposition contemporaine, Ozon offre avec L’Étranger un miracle de cinéma, traversé par une sensualité tant incarnée qu’elle imprime la vision.

La disparition de Josef Mengele - Kirill Serebrennikov - critique

Kirill Serebrennikov transfigure l’image du tyran démiurge, héritée de l’expressionnisme allemand, dans le visage et le corps bien réels de Josef Mengele, au sein d’un projet de déréalisation absolue. La disparition de Josef Mengele, ou l’évaporation de l’homme. Brillantissime.