Julien Rocher

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The Servant - Joseph Losey - critique

Joseph Losey, cinéaste de la perversité, compose un opéra gothique implacable sur la toxicité des rapports humains, au sein d’un microcosme bourgeois à l’agonie. Une œuvre à part, au noir et blanc sublime, révélant toute la dégénérescence d’un ordre social évanoui.

Spencer - Pablo Larraín - critique

Porté par une mise en scène d’une beauté anagogique sidérante, Spencer est un miracle de cinéma où le cinéaste Pablo Larraín cortège Lady Diana dans un univers à mi-chemin entre la douce étrangeté et le conte de fées funeste où la fantasmagorie côtoie la psychanalyse.

Benedetta - Paul Verhoeven - critique + test DVD

Dans le sillage théologique de son chef-d’œuvre La Chair et le sang, Benedetta de Paul Verhoeven poursuit assez admirablement la question de la condition féminine et le rapport au corps au sein de l’extrémisme religieux, pire encore de la société féodale, comme vecteur social annihilant les individus. Un nouveau portrait de femme flamboyant de la part du Hollandais violent.

Clair-obscur - Rebecca Hall - critique

Pour ses premiers pas en tant que réalisatrice, Rebecca Hall travestit le genre du mélodrame et compose avec Clair-obscur une métaphore cruelle de la condition afro-américaine et ses paradoxes, pour ensuite conclure sur un cauchemar innommable, celui de l’impossible intégration. Un double portrait de femme au pouvoir d’attraction fascinant.

Harold et Maude - Al Ashby - critique

Nihiliste et intensément hédoniste, inventif et pourtant prosaïque, onirique et tourmenté, sensible et survolté, Harold et Maude est une love story schizophrène où deux âmes perdues dans une Amérique aliénante font le pari de la folie. Une romance intergénérationnelle éminemment orchestrée par un conteur hors pair.