Accueil > roger w

roger w

Badge Club

Voir tous les membres

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

424 films notés

443 avis de film

0 série TV à voir

0 série TV vue

1 série TV notée

1 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

BD
FILMS
SÉRIES TV
LIVRE
MUSIQUE
SPECTACLE
EXPOSITION

Médiathèque

BD
FILMS
SÉRIES TV
LIVRE
MUSIQUE
SPECTACLE
EXPOSITION

Avis

BD
FILMS
SÉRIES TV
LIVRE
MUSIQUE
SPECTACLE
EXPOSITION

2012 - la critique

Quand on s’appelle Roland Emmerich, on ne s’embarrasse d’aucune crédibilité. Alors qu’importe que les personnages s’en sortent systématiquement alors que des milliards d’autres se font avaler par des ouragans. Qu’importe qu’il préfère sauver un chihuahua plutôt que des humains. Qu’importent les métaphores religieuses lourdingues. Et bien moi je dis non ! A force de vouloir en montrer toujours plus, le cinéaste finit par nous écoeurer et pire nous insensibiliser face aux destructions montrées. Alors évidemment, on arguera qu’il faut laisser son cerveau à l’entrée. Oui, mais si on a envie de (…)

Capitalism : a love story - la critique

Michael Moore revient à la charge et a cette fois le bon goût de rester dans son pays (souvenez-vous le pitoyable Sicko). La charge contre le capitalisme n’est pas légère, mais a le mérite de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Les dérives qui sont montrées ici ont de quoi scandaliser. Il n’empêche que son humour n’est pas ici des plus fins et dans certaines scènes, il se tire carrément une balle dans le pied en utilisant des méthodes douteuses. Michael Moore, quoi.

L’homme de chevet - la critique

A voir cette affiche, on s’attendait au pire. Pourtant, le métrage d’Alain Monne, bien que maladroit, demeure attachant grâce à de jolis personnages et une inteprétation de qualité. Heureusement toutefois que le livre de départ était excellent car sinon, le téléfilm n’était pas loin.

Le concert - Radu Mihaileanu - critique

Sans être un chef d’oeuvre d’émotion (peut-être parce que le cinéaste tient absolument à nous faire pleurer, au risque de nous saturer), Le concert est avant tout une comédie efficace dans sa première partie. L’élément plus mélodramatique se greffe dessus assez harmonieusement, mais on peut vraiment regretter la lourdeur démonstrative du cinéaste lors des dernières séquences. Le tout est finement interprété par l’ensemble des comédiens.

Arthur et la vengeance de Maltazard - la critique

Avec son animation bien plus travaillée et un environnement plus détaillé, cette suite d’Arthur est bien plus enthousiasmante que le premier volet qui avait tout de même la tache ingrate de poser les bases d’un univers kitsch. Ici, sans être un sommet du genre, l’aventure se suit avec plaisir de bout en bout. Du bon boulot qui frustre avec sa fin ouverte. La mission est accomplie car on a envie de voir la suite.

... < 61 62 63 64 65 66 67 68 69 > ...

Le coeur a ses raisons, saison 1 - la critique

Sans nul doute le plus grand éclat de rire de ces dernières années. Tous ceux qui aiment l’humour absurde des ZAZ doivent impérativement se précipiter sur ce monument qui n’a même pas réussi à se frayer un chemin dans les grilles des programmes télé, pourtant si peu friands en oeuvres de qualité. Hilarant.