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Sébastien Schreurs

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Old Boy - Park Chan-wook - critique

Complètement marteau... Présenté à Cannes l’année où Quentin Tarantino était président du jury, "Old boy" est passé à un cheveu de la Palme d’Or, préférée au brûlot politique "Fahrenheit 9/11" de Michael Moore. Or, cette histoire de vengeance à la violence extrême présente une multitude de similitudes avec l’univers unique du réalisateur de "Pulp fiction". Dotée d’un scénario complexe et intriguant, visuellement splendide, toute une génération de cinéphiles voue un véritable culte à cette œuvre polymorphe. Amplement mérité.

Orange mécanique - Stanley Kubrick - critique

Mon premier choc cinématographique d’adolescent (découvert en "cachette" vidéo). Et surtout la révélation d’un cinéaste de génie... Que du bonheur !

Le nom des gens - Michel Leclerc - critique

Une petite merveille, portée par ses deux interprètes principaux en état de grâce, qui pulvérise (au karcher !) tous les clichés de la France d’aujourd’hui. Face à Sara Forestier qui se permet tout, Jacques Gamblin est une fois de plus bouleversant de vérité. À voir de toute urgence...

Cannes 1946-2010 : les 10 meilleures Palmes d’or de la rédaction

1. Apocalypse now 2. Taxi driver 3. Blow-up 4. Paris, Texas 5. Le troisième homme 6. Conversation secrète 7. La leçon de piano 8. Sailor et Lula 9. Sexe, mensonges et vidéo 10. Le messager - Quand passent les cigognes (ex aequo)

Dog pound - la critique

Faut-il emprisonner les mineurs ? Sans jamais répondre à la question, Kim Chapiron suit le quotidien de trois adolescents en milieu carcéral. La force du récit est de laisser au spectateur le choix de se forger sa propre opinion. Au final de ce pur chef-d’œuvre, la frustration nous assaille tant on aurait voulu qu’il se prolonge encore durant des heures entières.

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Le mur invisible - la critique

Cette adaptation radicale d’un des plus célèbres romans en langue allemande amène à s’interroger sur le sens de la vie. Hormis une voix off répétitive, tout le mérite consiste déjà à nous en faire prendre profondément conscience.

Nicostratos le pélican - la critique

Niais de temps à autre, Nicostratos le pélican regorge de valeurs humaines profondes ayant malheureusement tendance à se perdre de nos jours. Néanmoins, voilà le mérite de cette belle histoire d’amitié universelle qui s’adresse avant tout aux enfants accompagnés de leurs parents.

Sébastien Schreurs

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Takers - la critique

Des hommes sans loi - John Hillcoat - critique

13 assassins - la critique

Xanadu - la série évènement d’Arte