Sébastien Schreurs

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Dans la maison - la critique

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A trop vouloir s’approcher du "Théorème" de Pasolini, Ozon se brûle littéralement les ailes. N’est pas Terence Stamp qui veut... CQFD !

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Le Ruban blanc - Michael Haneke - critique

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Le village des damnés. Michael Haneke est un immense cinéaste (depuis sa trilogie sur la "glaciation émotionnelle") et il le prouve une fois de plus avec cette parabole glaciale sur l’éducation rigoriste au sein de la petite communauté d’un village allemand. Si Haneke ne donne aucune explication (c’est qu’il fait confiance à la subtilité de son public), il faut y voir entre les lignes une divination du fascisme. Les enfants victimes de cette autorité parentale seront les bouchers nazis de demain, semblerait dire le réalisateur palmé. Bravo à Isabelle Huppert d’avoir eu le cran de faire (...)

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Inception - Christopher Nolan - critique

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« Deception » A l’encontre des critiques dithyrambiques et de l’engouement général, "Inception" est, sans conteste, la déception de l’année (comme "Avatar", l’année dernière). Pourtant, Christopher Nolan fait partie incontestablement (autant que David Fincher ou Paul Thomas Anderson) du cercle fermé des metteurs en scène anglophones les plus brillants de ces vingt dernières années. Ce rêve tronqué, personne n’osait y songer par le passé. Le "prestige" de Nolan serait d’imaginer la fusion de l’action d’un James Bond (période Pierce Brosnan) évoluant dans la "Matrix" des frères Wachowski. (...)

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I love you Philip Morris - la critique

« La "gay pride" de Jim Carrey » Alors que Jim Carrey change définitivement de bord, "I love you Phillip Morris", quant à lui, se cherche continuellement entre critique acerbe de la société américaine et comédie où l’inoubliable Truman de Peter Weir déploie son panel de mimiques habituelles. Sympathiquement gay, cependant rien de bien brillant sous le soleil.

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Mr Nobody - la critique

« "E pericoloso sporgersi" en version longuette » Comme dans son chef-d’oeuvre "Toto le héros", Jaco van Dormael pousse encore plus loin sa théorie de l’effet papillon. Il reprend l’idée de base de son court-métrage "E pericoloso sporgersi" en imaginant les possibilités multiples qui déboucheraient sur le fait de réussir ou non à monter dans le train lors de son départ en gare. Le projet a beau être ambitieux, l’aboutissement n’est pas à la hauteur de ses ambitions. Brouillon et imparfait comme l’est l’existence humaine.

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Vous n’avez encore rien vu - la critique

Dixième film en compétition officielle, Vous n’avez encore rien vu marque le retour de Resnais à Cannes à l’âge de.. 90 ans, soit un demi-siècle après avoir présenté Hiroshima mon amour ! Avis à chaud...

Paradis : Amour - le dernier Ulrich Seidl

Présenté à Cannes, puis à l’Etrange Festival, le nouveau Ulrich Seidl se reconnaît dès les premiers plans longs et fixes... Notre avis à chaud.

Des hommes sans loi (Lawless) - la bande-annonce du dernier John Hillcoat

Le nouvel opus du réalisateur de La route s’inscrira-t-il dans la lignée de Boardwalk Empire ? Le pari est osé mais John Hillcoat a du talent à revendre...

To Rome with love - la critique

Un coup dans l’eau de la fontaine de Trevi pour le plus new-yorkais des réalisateurs... Insignifiant.

Monsieur Lazhar - le cinéma québécois en folie

Alors que sort ce mercredi Starbuck, Monsieur Lazhar fera parler de lui à la rentrée. Acclamé dans de nombreux festivals à travers le monde, cet autre film québécois de Philippe Falardeau (Congorama) a décroché pas moins de six prix Génie (l’équivalent canadien de nos César), sans oublier une nomination inattendue en tant que meilleur film étranger lors des derniers Oscar...

Xanadu - la série évènement d’Arte

À partir de ce soir, la série Xanadu, diffusée sur Arte, nous fait pénétrer dans les coulisses du cinéma porno. Chaud devant !