Claude Rieffel

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Looking for Simon - la critique

Le scénario trop habilement écrit frôle parfois dangereusement les lieux communs auxquels invite le sujet, l’application à les éviter restant bien perceptible (certains non dits sont lourds de sens). Krüger ne retrouve pas toujours ici l’inquiétante étrangeté qui faisait la force du superbe Rückenwind et Marseille reste souvent une simple toile de fond touristique alors que la forêt de Brandebourg était vraiment le personnage central du film précédent. Forts de leur solide expérience théâtrale, Corinna Harfouch et Nico Rogner sont (trop) irréprochables mais on sent parfois leur (…)

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La source thermale d’Akitsu - la critique

Le centième film de l’actrice Mariko Okada (comme l’annonce le générique) est un grand mélodrame à la Sirk, mais, sous son classicisme de façade, il prend le risque d’ une alchimie formelle extrêmement audacieuse : photo et mouvements de caméra célébrant la beauté exténuante, inhumaine, de la nature au fil des saisons, flots de musique symphonique enrayés par la répétition et les dissonances, sidérantes ellipses temporelles. Chez Yoshida l’esthétisme exacerbé débouche sur l’émotion.

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Stella, femme libre - la critique

Malgré la splendeur de la photo noir et blanc et un soin évident apporté à la composition des plans, Cacoyannis réussit à donner à son deuxième long-métrage un côté rugueux, presque documentaire, en particuliers dans les séquences finales où il mêle ses acteurs à la foule du défilé de la fête nationale. Emule de Rossellini, il affronte franchement le mélo et le folklore mais en évitant de « boucler » son film. Mélina Mercouri, déjà célèbre au théâtre, crève l’écran dans ce premier rôle au cinéma mais n’écrase pas ses remarquables partenaires Giórgos Foúndas (Míltos), Voula Zouboulaki (…)

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Le Fleuve - la critique + test blu-ray

Cette déclaration d’amour à une Inde à la fois réelle, observée avec une attention de documentariste, et réinventée aux couleurs du Technicolor de Claude Renoir (la fameuse anecdote du gazon repeint en vert pour les besoins du films) adopte, de digression en digression, le ton et le rythme du conte. C’est un véritable voyage initiatique pour le spectateur émerveillé et un film fondateur pour plus d’une vocation de cinéaste.

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Comme une étoile dans la nuit - La critique

Avec l’audace tranquille et l’espèce de naïveté totalement assumée qui fait le prix de toute son oeuvre Féret affronte sans détours ou afféteries un sujet redoutable mais évite le pathos et l’hystérie, axant plutôt le film sur les efforts du jeune couple pour résister à la pitié envahissante d’un entourage qui ne sait comment réagir face à l’inacceptable. Le cinéaste trouve lui la juste distance. L’émotion qu’il parvient à créer n’en est que plus profonde.

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Toute la famille travaille - la critique

Une comédie prolétarienne voilée de tristesse qui fait entendre l’inimitable musique narusienne.

Pink - La critique

Pathos et humour donnent une dimension mythique au quotidien dans ce conte cruel mais résolument optimiste aux vives couleurs, opus 32 de Rudolf Thome.

Walkover - la critique + le test DVD

Sous son apparence faussement nonchalante, le deuxième long-métrage de Jerzy Skolimowski est animé de la même liberté déconcertante et du même lyrisme paradoxal que Rysopys. Ce diamant brut de la modernité cinématographique des années 60 n’a pas pris une ride.

Tôhô : le rêve américain Histoire des grands studios japonais : 4e volet

Du 8 février au 31 mars 2011 la Maison de la Culture du Japon à Paris présente un large panorama de films produits par la Tôhô.

Everyone Else - Maren Ade - critique

Deux acteurs étonnants font du théâtre imprévisible d’un couple dans l’été sarde une comédie cruelle filmée, à juste distance, par une jeune cinéaste au talent affirmé.