Frédéric de Vençay

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Elena - la critique

Si la mise en scène de Zviaguintsev est d’une virtuosité indéniable, on pourra s’interroger sur la fonction qu’elle revêt dans cet "Elena", objet froid et extrêmement théorique, entièrement voué à l’exposition des conflits de classe de la Russie contemporaine (qu’il ne "règle" pas, ni n’interroge). Sa description des deux microcosmes riches/pauvres se fait avec une égale cruauté, parfois au bord du cynisme ou de la caricature. On peut aussi ne pas adhérer à cette forme de mépris démiurgique, même si elle témoigne par moments d’une certaine lucidité sur l’être humain. Conte de la (...)

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Harakiri - la critique + test blu-ray

Découvert dans cette fameuse copie restaurée, qui restitue au mieux les superbes contrastes entre ombre et lumière et la sueur collant au front des rônins. Kobayashi signait là un sommet de tension dramatique doublé d’un anti-film de combat en huis-clos (à l’exception de flashs-back flamboyants et d’un final sacrificiel gigantesque). La construction gigogne, en allers-retours tortueux et sophistiqués, lui permet de faire cohabiter plusieurs genres : suspense, mélodrame, chronique naturaliste, film de sabre, brûlot politique... Remontant aux sources du chanbara (le théâtre japonais), (...)

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Quand je serai petit - la critique

Cette seconde oeuvre honorable de Jean-Paul Rouve est certainement plus assurée et aboutie que la première, le cinéaste en herbe ayant pris soin, cette fois-ci, de ne pas s’attaquer à sujet plus grand que lui. Avec une économie de moyens bienvenue et une absence d’humour potache, "Quand je serai petit" parvient à faire cohabiter son canevas semi-fantastique avec une histoire familiale toute en émotions feutrées. Le problème est que le film finit par payer cette modestie : devant des enjeux finalement pas très neufs ni tout à fait bouleversants, on se demande à quel moment le récit finira (...)

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Men in Black 3 - la critique

Le retour des hommes en noir n’était pas ce qu’il y avait de plus urgent (ou de nécessaire) sous le soleil. Pour peu qu’on ait gardé au fond de soi une part de régression post-teenage et qu’on se soit bien marré devant les frasques de l’opus 2 (c’est possible, je l’ai testé), ce double retour dans le passé peut s’avérer plaisant, quoique complètement anachronique en 2012. Preuves parmi d’autres : la mise en scène anémiée de Sonnenfeld, le jeu essoufflé de Will Smith, les gags oscillant entre le moyen et le franchement bof... Qu’est-ce qui fonctionne (un peu) quand même ? Bizarrement, (...)

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Moonrise Kingdom - Wes Anderson - critique

Après un "Fantastic Mr Fox" empaillé, où le disque Anderson semblait définitivement rayé, ce "Moonrise Kingdom" vient nous rassurer sur l’état de santé de son cinéma - même s’il apporte peu de changements fondamentaux à son petit théâtre de marionnettes jaune sépia. Malgré quelques faiblesses relatives (de scénario, de rythme), c’est une œuvrette extrêmement réjouissante dont on ressort avec le baume au cœur et les étoiles dans les yeux. Que "Moonrise" demeure un opus mineur dans la filmo du Texan importe finalement peu, puisque le film se vit précisément comme cela : c’est une pure (...)

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Le Sang d’un poète - Jean Cocteau - critique

Déroutant, philosophique, surréaliste (au sens premier du terme !), ce premier film réalisé par Cocteau nous plonge dans les fantasmes troubles d’un artiste.

Il était une fois la révolution - Sergio Leone - critique

Faux western et vraie fresque historique et lyrique, Il était une fois la révolution est sans doute le film le plus sombre, le plus violent de Sergio Leone. Une puissance visuelle inouïe au service d’une vision désenchantée de la politique.

Sécurité rapprochée - Daniel Espinosa - critique

Action movie banal quoique pas désagréable, Safe house est une simple rampe de lancement à la carrière hollywoodienne de Daniel Espinosa. Dommage pour le réalisateur de Easy Money.

Le concert - Radu Mihaileanu - critique

Musique et cinéma populaire font parfois bon ménage : une nouvelle preuve avec ce cocktail franco-russe détonnant. Les quelques faiblesses sont vite balayées quand grosse farce et émotion s’accordent en ré bonheur.

Et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - critique

Sergio Leone tutoie les sommets avec ce deuxième volet de sa "trilogie des dollars", quintessence d’humour noir et de western stylisé.

Lost : bilan de la saison 6

Décevante pour les uns, époustouflante pour les autres, déroutante pour tous, la dernière saison de Lost a assuré le spectacle, sans dévoiler toutes ses clés cependant...

Le mot de la fin pour Lost

La série phare créée par J.J. Abrahams est sur le point de dévoiler tous (?) ses mystères...