Julien Rocher

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Un monde - Laura Wandel - critique

À travers ce premier long métrage audacieux, la cinéaste Laura Wandel nous plonge tête la première dans la hantise du harcèlement scolaire. Un monde est un geste de cinéma radical nous confrontant à la pérennité de la violence sociale jusque dans la petite enfance. Un choc de ce début d’année.

Don’t Look Up : Déni cosmique - Adam McKay - critique

Don’t Look Up est une farce grinçante, outrancière et furieusement actuelle sur l’âme noire de l’Amérique car ce qui peut paraître bouffon, absurde, voire dérisoire, ne l’est bien sûr pas tant le film est une charge pamphlétaire d’une puissance incommensurable sur la mécanique sadique du langage médiatique.

The Servant - Joseph Losey - critique

Joseph Losey, cinéaste de la perversité, compose un opéra gothique implacable sur la toxicité des rapports humains, au sein d’un microcosme bourgeois à l’agonie. Une œuvre à part, au noir et blanc sublime, révélant toute la dégénérescence d’un ordre social évanoui.

Spencer - Pablo Larraín - critique

Porté par une mise en scène d’une beauté anagogique sidérante, Spencer est un miracle de cinéma où le cinéaste Pablo Larraín cortège Lady Diana dans un univers à mi-chemin entre la douce étrangeté et le conte de fées funeste où la fantasmagorie côtoie la psychanalyse.

Clair-obscur - Rebecca Hall - critique

Pour ses premiers pas en tant que réalisatrice, Rebecca Hall travestit le genre du mélodrame et compose avec Clair-obscur une métaphore cruelle de la condition afro-américaine et ses paradoxes, pour ensuite conclure sur un cauchemar innommable, celui de l’impossible intégration. Un double portrait de femme au pouvoir d’attraction fascinant.