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The killer inside me - la critique

Polar stylisé un brin poseur, cette adaptation d’un roman policier manque de rythme et de chair et pêche par un surjeu des acteurs, Casey Affleck manquant en outre d’épaisseur pour son personnage. Une demi-réussite.

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Cellule 211 - la critique

On a peine à croire que ce polar efficace mais conventionnel ait remporté 8 Goya, l’équivalent espagnol de nos César... Si la première heure s’avère prometteuse, la suite déçoit par ses invraisemblances, ses retournements de situation grand-guignolesques et son filmage à la truelle. C’est certes mieux dialogué et monté que La journée de la jupe, sans dépasser le niveau d’une production Gilles Béhat. Et après la réussite majeure de Un prophète, ce film de prison à gros sabots paraît bien lourdaud...

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Micmacs à tire-larigot - la critique

Après un début laborieux (à l’exception d’un beau générique Hollywood 40’s), le cinéaste retrouve ses marques et son univers créatif basé sur un usage artisanal d’accessoires en tous genres. La petite musique n’a plus l’effet de surprise mais le résultat est une comédie plutôt réussie. Danny Boon n’est certes pas Johnny Depp et ni Jeunet Tim Burton mais ne boudons pas notre plaisir.

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Goodbye Solo - La critique

Une greffe réussie du ton minimaliste du cinéma iranien sur la veine indépendante américaine. Le film évite les clichés du récit d’amitié improbable (de Bagdad Café à Driving Miss Daisy) pour se concentrer sur les failles de personnages sortant des archétypes. La dernière demi-heure est un modèle d’épure narrative.

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La nana (la bonne) - la critique

Au carrefour de plusieurs genres, ce film insolite, qui n’est pas sans évoquer Genêt et Chabrol, est un modèle d’épure narrative et de suspense psychologique. Une révélation majeure !

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