Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Brillant à bien des égards, parfois pompeux, La comtesse aux pieds nus mérite d’être vu et célébré à nouveau.

Pétillant et virevoltant, La revanche des humanoïdes permet à Albert Barillé de signer une petite pépite bien difficile à classer dans l’histoire du cinéma.

Brady Corbet réalise un film singulier, troublant à bien des égards, mais que personne ne peut qualifier d’intéressant.

Utama : La Terre oubliée ne raconte pas seulement la tragédie du réchauffement de la planète et de l’avancée des déserts. Il décrit avec brio les conflits intergénérationnels et interculturels au cœur d’une Bolivie au bord de l’asphyxie.

En adoptant un niveau d’exigence formel exceptionnel, Gavras réussit un film qui émeut autant qu’il impressionne.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Avec finesse, Juliette Goffart analyse la riche carrière de Fincher de manière tout à fait solide, en demeurant très accessible.

Friends Forever propose une plongée réjouissante dans l’univers cultissime de la sitcom phare de NBC, avec anecdotes en pagaille et mise en page très soignée.

L’ouvrage promet et permet un moment agréable à travers les exploits (récents) du sport (médiatisé) français. Plaisant et soigné, mais peut-être un peu léger.

Si Economie du cinéma requiert une attention élevée de la part de son lecteur, l’ouvrage sait lui offrir de nombreuses et précieuses clés de compréhension d’un univers en pleine mutation.

Jacques Aumont et Michel Marie proposent un incontournable pour l’étudiant ou encore le cinéphile aspirant à l’analyse.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.