Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Au sortir de la projection de son nouveau long-métrage Demba, Mamadou Dia nous partage ses secrets de production, son parcours, et sa vision du cinéma sénégalais, dans un entretien riche et animé.

Dans un film essentiel longtemps interdit en France, Ousmane Sembène et Thierno Faty Sow rendent hommage aux tirailleurs victimes du massacre de Thiaroye.

Du 15 au 18 août 2024, comme chaque année depuis dix-huit ans, Lausanne vibrera au rythme de l’Afrique avec le FCA, qui met à l’honneur le cinéma qui provient du continent, ou qui le concerne. Avec quelques surprises !

Après 9 jours et 124 projections, le NIFFF 2024 tire sa révérence, avec son lot de récompenses et de promesses pour la suite.

Hallucinations et faux-semblants font le sel d’une rêverie fantastique qui marque les esprits.

Sans jamais oublier l’exigence formelle, Enterrement de vie de garçon laisse son spectateur hilare, et profondément touché.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Par delà l’horizon est un objet de curiosités, qui se dévore ou se savoure, dans l’ordre ou le désordre, toujours avec intérêt, souvent avec admiration.

Les 1000 films culte de l’histoire du cinéma a tout pour plaire au lecteur avide de découvertes, grâce à une présentation impeccable et des textes toujours très abordables.

Ouvrage collégial (75 personnalités différentes se livrent), Propos mêlés sur le rugby est incontestablement marqué du sceau de la sincérité et de l’authenticité, sans délaisser un vrai amour du verbe, pour faire écho à une certaine esthétique de l’effort et du rugby, auquel il rend un bel hommage.

Véronique Le Bris opère une mise à l’honneur des femmes cinéastes salvatrice, qui renseigne aussi bien sur l’Histoire du cinéma que sur sa diversité.

Avec finesse, Juliette Goffart analyse la riche carrière de Fincher de manière tout à fait solide, en demeurant très accessible.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.