Claude Rieffel

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

21 films notés

22 avis de film

TV

0 série TV à voir

0 série TV vue

0 série TV notée

0 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Air Doll - la critique

S’aventurant, non sans humour, dans le domaine de la sous-culture populaire du manga sans chercher à s’en dédouaner par une distance ironique, le film de Kore-eda prend le risque d’assumer une forme délibérée de naïveté constamment menacée par la mièvrerie ou l’excès de lisibilité. C’est à ce prix qu’il réussit à intriguer et même à troubler en profondeur. Il est vrai que ça tourne un peu à vide par moments mais le côté pas complètement fini participe aussi du charme bizarre et déroutant de Kûki ningyô/Air-doll.

Lire la suite

Je demande la parole - la critique du film

Les deux premiers films du tandem Panfilov-Tchourikova étaient portés par un sentiment d’euphorie lucide reposant sur un goût prononcé de l’expérimentation formelle et sur une empathie entre le cinéaste et l’actrice qui maintenait cependant un reste de distance étonnée face à l’étrangeté de ce visage atypique et de ces figures féminines déroutantes. Ici la part de cruauté dans le regard du cinéaste-spectateur est plus manifeste et Tchourikova/Ouvarova est souvent mise à l’épreuve de la durée du plan fixe, comme attendue au tournant. Le film, bien que plus long et plus lent, en acquiert (...)

Lire la suite

La Fille du Far West - la critique + le test DVD

Sans vouloir minimiser l’apport de De Mille, il est probable que sa mise en scène s’appuie largement, pour cette première adaptation de la pièce à succès de David Belasco (1905), sur des productions théâtrales antérieures et qu’il avait certainement en tête aussi l’opéra La fanciulla del West, crée à grand renfort de publicité au Metropolitan Opera de New York le 10 novembre 1910 (avec Caruso dans le rôle de Dick Johnson). Le sang du bandit caché tombant sur la main du shériff et la partie de poker qui s’en suit constituent en effet un des sommets dramatiques de la partition de Puccini. (...)

Lire la suite

D’acier - la critique

Adapté d’un roman de Silvia Avallone, le second film de fiction de Stefano Mordini, après "Provincia meccanica" (2005), cherche manifestement à échapper aux pièges de la "tranche de vie" et du constat sociologique au profit d’une espèce d’immersion contemplative. La splendide photo du regretté Marco Onorato (collaborateur fidèle de Garrone) et un formidable travail sonore qui rend volontairement les dialogues en partie inintelligibles (un effet malheureusement gâché par les sous titres) célèbrent l’éblouissement de l’été et magnifient la beauté des paysages industriels de Piombino et de (...)

Lire la suite

Au revoir l’été - la critique du film

Dans cette radieuse comédie météorologique gravement frivole, Kôji Fukasa assume ses références à Rohmer (les films de bord de mer surtout) et Hong Sang Soo, ou encore Naruse et Ozu (On pense aussi à Shimizu, notamment lors de la séquence de l’étang). Mais, loin de peser sur lui, ces influences revendiquées nourissent ce film léger qui réussit, avec une douceur qui n’exclut pas la crudité (ni la cruauté), à articuler beaucoup de choses du jeu amoureux mais aussi de l’état du monde et de la place qu’y occupe chacun. Il trouve la juste note musicale pour alier l’explicite à la délicatesse (...)

Lire la suite

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Les égarés - Francesco Maselli - critique

Le premier long métrage de Citto Maselli aborde la question des choix dans l’Italie de 1943 avec une pertinence politique qui échappe largement à la rhétorique et capte la lumière d’automne dans la plaine du Po avec un sens atmosphérique exceptionnel.

Le cancre - Vecchiali à Cannes

Le nouveau Vecchiali en séance spéciale à Cannes.

La fête et les invités - La critique + Le test DVD

Drôle et glaçant, le deuxième long-métrage de Jan Němec a la force explosive des grandes oeuvres surréalistes.

C’est l’amour - la critique du film

L’amour sans filet, mais en couleurs et en chansons : le Vecchiali nouveau est une audacieuse comédie tragique, facétieuse et sans concession.

Le Pont du Nord - la critique

Ce fascinant jeu de l’oie dans le Paris en chantier de 1980, en compagnie de Bulle et Pascale Ogier, est un conte initiatique désenchanté, d’après la fin du monde. Un des plus beaux Rivette.