Fabrice Prieur

Badge Club

Voir tous les membres

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

0 film noté

0 avis de film

TV

0 série TV à voir

0 série TV vue

0 série TV notée

0 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Runner - Marian Mathias - critique

Une jeune femme vit seule avec son père aussi sombre que mutique. Un premier long métrage extrêmement maîtrisé, qui rappelle, sans le copier, l’univers des films de Robert Bresson ou Ingmar Bergman.

Wayward - Jacquelyn Frohlich - critique

Idaho : Une mère et sa fille adolescente prennent la route pour rejoindre Los Angeles : une histoire sensible sur les rapports mère/fille, qui se perd un peu quand elle s’oriente vers le thriller.

Cold Copy - Roxine Helberg - critique

Une étudiante journaliste aux dents longues se démène pour suivre les cours d’une présentatrice vedette de la télévision. Une dénonciation un peu convenue du monde de l’information.

The Graduates - Hannah Peterson - critique

Une jeune femme tente de se reconstruire après avoir perdu son petit ami, victime d’une fusillade dans leur lycée. Un récit de résilience tout en émotions.

La vie selon Ann - Joanna Arnow - critique

Une jeune new-yorkaise s’adonne à des relations de soumission avec des hommes qu’elle recherche sur Internet. Devant et derrière la caméra, Joanna Arnow ne se ménage pas avec une autodérision permanente, dans un récit souvent trop répétitif.