François Roque

J’écris mes humeurs de cinéphile qui ne va plus au cinéma au cause du bruit du pop-corn et surtout de la mort du 35 mm, mais qui se gave de dvd et Netflix. Et je ne me pignole pas (ou plus) dans mes articles, la lecture des « Cahiers du cinéma » dans les années 70/80 m’a cramé trop de neurones…

Sinon, j’ai écrit "125 ans de cinéma, 125 films", c’est là : www.facebook.com/125ansdecinema125films/

Enfin, je suis aussi là : https://twitter.com/imposture

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

3 films à voir

13 films vus

15 films notés

4 avis de film

TV

1 série TV à voir

55 SÉRIES TV vues

51 SÉRIES TV notées

1 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

3 livres lus

3 livres notés

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

1 musique notée

1 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Mank - David Fincher - critique

On va mettre de côté le fait que Fincher revienne au long-métrage après 6 ans. Aucun rapport avec tout avis sur Mank : bien d’autres ont pris ou prennent encore plus de temps entre deux films. Tout comme sa dimension « affective », en raison du lien père-fils, scénariste-réalisateur et de ses difficultés durant 30 ans à le monter. Car là aussi, faut-il le savoir… Dès le générique, avec sa typographie désuète ombrée sur fond de ciel en noir et blanc, on comprend que Fincher va nous la jouer vieux cinéma des années 40. Après trois plans d’un cortège de voitures conduisant Herman J. (...)

Lire la suite

The Old Guard - Gina Prince-Bythewood - critique

Sitôt vu, sitôt oublié. Hélas. J’avoue que j’ignorais l’existence des comics dont est adapté ce film, mais quel dommage ! Certes la production est propre (photographie, décors, combats, etc.), s’offre un bon casting (mention pour Harry Melling qui, depuis Harry Potter, nous surprend après son étrange rôle dans The Ballad of Buster Scruggs, le sublime western à segments des frères Coen produit par Netfix), et Charlize Theron se fait plaisir en s’offrant un nouveau rôle bien badass, après Atomic Blonde et Mad Max : Fury Road, tout en produisant via sa compagnie, Denver and Delilah (...)

Lire la suite

Sorry to bother you - la critique du film

Séance rattrapage dvd hier soir. Si par moment l’interprétation et la réalisation faiblissent, l’ambiance générale assez déroutante, et les "délires" finaux employés pour appuyer le propos politique donnent à ce film un cachet exceptionnel, surtout pour une première réalisation truffée de clins d’œils (Michel Gondry, fallait oser !). Dans les bonus du dvd un entretien du réalisateur éclairant sur son process de travail…

Lire la suite

Les fils de l’homme - la critique du film

Film majeur du genre dystopique. Chef d’œuvre. C’es tout. (5 étoiles, le truc est encore bugué depuis le changement ;-)

Lire la suite

Mindhunter saison 2 - la critique (sans spoiler)

Effectivement cette deuxième saison confirme et sublime la qualité exceptionnelle de cette série. Et aussi le côté un poil vicieux des producteurs : BTK n’a été confondu qu’en 2005. En conséquence, on n’a plus qu’à espérer qu’il s’agit bien de la deuxième et non pas seconde saison, et que s’ils ont en tête 2 ou 3 saisons de plus, pas de problème, on achète tout de suite !

Lire la suite

Supertramp : Breakfast in America - la critique de l’album

C’est hélas plus son succès qui le rend important que sa petite poignée de tubes qui montrent plus le début de la fin du groupe. La suite ne sera que déception, après le départ de Roger Hodgson. Le seul mérite de cet album aura été de faire connaître à un plus vaste public cet excellent groupe et surtout ses 3 albums précédents, très nettement au dessus, « Crime of the Century » (1974), « Crisis ? What Crisis ? » (1974) et « Even in the Quietest Moments… » (1977) avec sa dernière piste fleuve de 10 minutes « Fool’s Overture » ; tout Supertramp est dans ces 3 albums. Ce groupe aura eu un (...)

Lire la suite

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

The Drug King - la critique du film

À force de trop chercher son style, entre Scorsese et De Palma, ce biopic d’un baron de la drogue opérant depuis le port de Busan nous empêche de plonger dans ses eaux troubles et nous laisse sur le quai… Dommage.

Beats - la critique du film

Ce deuxième long métrage de Chris Robinson, réalisateur émérite de clips et publicités, aurait probablement gagné a être plus sombre.

Gomorra : film charnière du genre mafia ? - la critique

À l’occasion de la diffusion depuis ce 24 juin de la saison 4 de la série Gomorra sur Canal+, retour sur le film éponyme, sorti il y a plus de 10 ans, une glaciale plongée dans la réalité du crime organisé, bien loin de Coppola et Scorsese.

Extremely Wicked, Shockingly Evil And Vile - la critique du film

Biopic d’un des sérial killers les plus terrifiants de l’histoire et qui donne l’occasion à Zac Efron de casser son image et de faire peau neuve.

Murder Mystery - la critique du film

On aurait dit que t’étais policier, moi ta femme, et qu’on était en croisière, et qu’il y avait des meurtres, et qu’on irait dans le sud de la France, non, attends en Italie aussi, non ? Et qu’on en aurait fait un film…

Warrior Nun - la critique de la série

Si l’intrigue, sur fond de luttes religieuses ancestrales contre le mal, est parfois laborieuse ou part un peu dans tous les sens, l’entreprise est sauvée par une qualité certaine de production et propose un honnête divertissement d’action pour démarrer l’été.

Dérapages - la critique de la série

Cette série plutôt nerveuse dans sa réalisation, et portée (entre autres) par le duo Éric Cantona-Alex Lutz, oscille entre chronique sociale et thriller, avec en toile de fond des méthodes de management qui, hélas, ne relèvent pas de la fiction. Un résultat de bonne facture et assez captivant.

The Woods - la critique de la série

Cette transposition du livre de Harlan Coben en Pologne, s’enlise dans un récit laborieux, quelques curiosités de réalisation, et manque cruellement de tension. Si bien que la résolution finale est vécue sans grande surprise. Dommage.

Curon - la critique de la série

Si cette série italienne, qui mêle joyeusement les références, nous embarque dans un récit sinueux, elle nous laisse un peu sur notre faim. Laissons-lui le bénéfice d’une probable suite à venir pour nous éclairer…

Jeffrey Epstein : Filthy Rich - la critique de la série documentaire

Qui était vraiment Jeffrey Epstein ? Un sinistre prédateur sexuel, mais encore ? Telle est la question qui reste en suspens à l’issue de ce documentaire effrayant et malsain, mais dont la construction en quatre actes masque la triste impasse de l’enquête.

Le court-métrage, du 28 décembre 1895 à nos jours

Dernier ouvrage de la collection « L’Opportune », publié par les Presses universitaires Blaise-Pascal (Clermont-Ferrand), Le court-métrage, du 28 décembre 1895 à nos jours est un opuscule qui attirera autant l’attention des cinéphiles avertis que des néophytes désirant se plonger dans 130 ans de cinéma.

C’est presque pareil ! - Claude Gaillard - critique du livre

Un ouvrage très référencé et distrayant, qui se picore plus qu’il ne se dévore.

T’ar ta gueule à la récré. Confessions d’un influenceur - La critique du livre

La contrition fluide et vivante, mais pas fière d’un affranchi, pseudo parrain, au milieu des années 2000, de la piscine des blogs, avant qu’elle ne soit déversée et diluée dans l’océan des réseaux sociaux. Au-delà de l’aspect historique, ce récit pédagogique soulève le couvercle de l’influence digitale et en démonte son artificiel moteur.