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Les invités de mon père - la critique

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Oeuvre intéressante par le mélange bien dosé de légèreté et de gravité, une bonne comédie avec, d’une part des dialogues et des situations consciencieusement élaborés de façon à ce que leurs effets portent au mieux, d’autre part des interprètes qui jouent le jeu avec un maximum d’authenticité.

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Kick-Ass - la critique

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L’héroïne de ce film à l’hyperviolence désinvolte est une fillette de onze ans, superwoman de la gâchette. C’est Spy Kids revu par Tarantino, mâtiné de Grand Guignol et récupéré par le cinéma kung fu : mariage réussi et descendance garantie.

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Tête de turc - la critique

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Dans ce film choral à la française, prenant pour sujet la banlieue, on a mêlé beaucoup d’ingrédients thématiques en espérant que certains fassent mouche. Raté : Pascal Elbé s’éparpille et ne dépasse pas le niveau des intentions louables quand il ne force pas trop les conventions (stéréotype du frère aîné, etc.). Comme souvent dans un film d’acteur, l’interprétation est de qualité, sauf Roni Elkabetz très démonstrative c’est à dire laissée libre du cabotinage le plus repoussant.

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Green zone - la critique

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En bon artisan du thriller terrorisant, Paul Greengrass utilise au mieux les vieilles bonnes ficelles du scénario : le procédé fonctionne de bout en bout avec rondeur et efficacité. Mais sans le morceau de bravoure qui aurait donné au film une longévité supérieure à sa projection.

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Independencia - la fiche film

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Independencia ou l’art de réaliser un film sans scénario. Une splendide photographie en noir et blanc ne suffit pas à la réussite d’une oeuvre qui aurait au moins eu besoin d’un argument prétexte pour soutenir et motiver l’image. Le nouveau cinéma philippin semble toujours dépassé par ses ambitions.

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