Jean-Patrick Géraud

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Poupoupidou - la critique

L’enquête est bien menée, et la mise en scène regorge d’astuces plaisantes. Dommage que l’ironie de l’ensemble casse un peu trop les moments graves. Le film finit par se noyer dans un flot de références "second degré" entre lesquelles les acteurs évoluent avec plus ou moins d’aisance. Au final, Poupoupidou a les mêmes travers que son héroïne, laissant entrevoir le film qu’il aurait pu être (un thriller lynchien efficace), mais se refusant toujours à l’être. L’ensemble reste vif et sympathique.

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Black Swan - la critique

Black Swan est, à bien des égards, un film brillant. Non seulement la mise en abyme donne lieu à des prouesses de mise en scène (exceptionnel numéro final), mais le film peut carrément se lire comme une adaptation inversée du Lac des Cygnes. La quête de la perfection se substitue ainsi avec grâce à celle de l’amour, seul l’accomplissement du numéro pouvant "briser le sortilège" de Nina. Curieusement, Aronofsky explore des thèmes lynchiens (la rivale, le spectacle, le double) mais avec une mise en scène très personnelle, qui confirme la singularité de son style et l’impose comme un des (…)

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Les Femmes du 6e étage - la critique

Davantage qu’une satire, le film est un portrait sincère de la bourgeoisie des années 60. Grâce à la justesse de ses acteurs et à une mise en scène impeccable, Le Guay délaisse les clichés et les ficelles du vaudeville pour privilégier l’intériorité de ses personnages. Mais en dépit d’une belle fin en demi-teinte, le film n’échappe pas totalement à la complaisance, notamment lorsqu’est évoquée la vie des immigrées espagnoles. L’ensemble demeure drôle et plus original qu’il n’y paraît.

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Fighter - la critique

Si Fighter séduit par ses acteurs - récompenses méritées pour Christian Bale et Melissa Leo, très émouvants - c’est au détriment d’un scénario un peu trop plein de bonnes intentions et parfois étrangement dépourvu de vraisemblance. L’ensemble demeure vif et drôle.

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Sucker Punch - la critique

Le film de Zack Snyder repose sur une architecture délicieusement simple et qui séduit par sa pure gratuité. D’où une expérience libératoire très forte, proche de la catharsis, ce à quoi Nolan échouait. Sucker Punch ne s’embarrasse d’aucune vraisemblance et se donne surtout à voir comme une expérience visuelle et auditive - on notera le goût du cinéaste pour les scènes "muettes", très fortes, et qui renouent avec les origines du langage cinématographique (cf le prologue). A la manière d’un Tarantino, Snyder s’approprie avec talent tous les codes de la culture populaire (clip, musique (…)

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Darling - John Schlesinger - critique

Schlesinger dresse le portrait émouvant d’une femme éprise de liberté, épinglant au passage les travers d’un certain show-business.

La reine Margot - Patrice Chéreau - critique

Un ballet flamboyant, époustouflant de violence et de beauté.

My Own Private Idaho - Gus Van Sant - critique

Sous l’influence de Shakespeare, Gus Van Sant réalise un drame expérimental et flamboyant sur l’adolescence.

Meurtre d’un bookmaker chinois (Le bal des vauriens) - John Cassavetes - critique

Un film noir intimiste, qui peut se lire comme l’autoportrait déguisé d’un cinéaste en quête d’indépendance.

Real - Kiyoshi Kurosawa - critique

Une œuvre inclassable et virtuose, qui brosse le portrait d’un monde aux prises avec l’inconnaissable.

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable