Jean-Patrick Géraud

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Shokuzai : Celles qui voulaient se souvenir - Kiyoshi Kurosawa - critique

La tension ne faiblit pas d’un épisode à l’autre et Kurosawa se livre à de subtils jeux d’échos entre les trames narratives. Portrait de femmes, vision critique d’une société cloisonnée et austère, tragédie sur le poids de la fatalité, c’est une oeuvre-somme qui en impose. J’aime en particulier les contrepoints comiques, qui ménagent notre sensibilité et donnent du rythme à l’ensemble. Et la dimension allégorique des personnages, qui permet de mettre à distance le déterminisme apparent de l’intrigue.

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Shokuzai - celles qui voulaient oublier - Kiyoshi Kurosawa - critique

Tout aussi magistral que le précédent. Les jeux d’échos entre les épisodes trouvent leur aboutissement dans un chapitre final d’une très grande intensité.

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Mère et fils - la critique du film

Excellent film, poignant et rythmé.

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L’enfant d’en haut - la critique

A mi-chemin entre conte cruel et drame social, L’enfant d’en haut séduit par sa belle direction d’acteurs et son exploration subtile des relations familiales. Pour autant, le scénario est inégal, cumulant des séquences parfois invraisemblables ou didactiques (échange entre Simon et le cuisinier sur la nécessité du vol) à d’autres, porteuses d’une grande force émotive, comme celle où Simon marchande douloureusement une nuit auprès de Louise. Le film se regarde finalement moins pour son discours sur la "lutte des classes" que sur les interférences complexes entre les sentiments et les intérêts.

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Les adieux à la reine - Benoit Jacquot - critique

Benoît Jacquot adapte intelligemment Chantal Thomas, reprenant les grandes lignes du roman tout en refusant le parti-pris du journal intime. Le film est, du coup, porté par un certain sens de la dramaturgie, qui culmine lors de belles scènes, notamment celles avec la Reine ou le personnage de Moreau. L’interprétation de Kruger (virtuose), et Lvovsky compense la faiblesse d’une Léa Seydoux pas très à l’aise dans le registre corseté du film d’époque. La mise en scène est quant à elle hésitante, oscillant entre l’introspection - caméra à l’épaule lorsque Sidonie parcourt les galeries - et (...)

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Cinq pièces faciles - Bob Rafelson - critique

Figure emblématique du cinéma indépendant des années 70, Bob Rafelson signe avec Cinq pièces faciles une œuvre inspirée, iconoclaste, et dont la puissance musicale est portée d’un bout à l’autre par des acteurs magistraux.

Nashville - Robert Altman - critique

Œuvre majeure dans la filmographie d’Altman, Nashville nous invite à méditer sur les rapports étroits entre le show-business et la politique.

My Week with Marilyn - Simon Curtis - critique

Formellement classique, My Week with Marilyn rend un bel hommage à la star que l’on sait, mais vaut surtout par le regard qu’il porte sur ses acteurs et l’industrie du septième art.

Boogie Nights - Paul Thomas Anderson - critique

Entre grandeur et décadence, une fresque audacieuse sur le monde du porno qui peut aussi se lire comme un vibrant hommage au septième art.

My Own Private Idaho - Gus Van Sant - critique

Sous l’influence de Shakespeare, Gus Van Sant réalise un drame expérimental et flamboyant sur l’adolescence.

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable