Jean-Patrick Géraud

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Skyfall - la critique

Exercice de haute voltige pour Sam Mendes, qui manipule avec un plaisir communicatif les ficelles du genre et signe un film assez personnel, tant par son esprit "old school" que par son regard sur l’actualité ou le monde moderne. Il est vrai que l’influence des derniers Batman se fait sentir à plusieurs reprises, pour l’aspect monstrueux des hommes de l’ombre, ou pour la dimension apocalyptique de certaines séquences. Et l’on sait depuis longtemps que les héros ne sont pas complètement infaillibles. Mais l’ennemi de l’agent Bond n’est pas tant, ici, du côté d’un Mal stratégique et (...)

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Millénium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes - David Fincher - critique

Davantage qu’une adaptation ou même un simple film policier, Millénium est un drame haletant et d’une intensité psychologique rare, qui n’est pas sans rappeler les grands modèles du genre. On pense souvent au Silence des Agneaux, pour le côté "Clarice Starling" de l’héroïne, ou pour la construction dramatique qui s’achemine peu à peu, de façon concentrique, vers le lieu du crime (en sous-sol). La violence surgit à l’endroit où on l’attend peut-être le moins, dans les lieux de l’intime, dans les trauma que l’on s’efforce d’oublier, mais que les images et les traces écrites rappellent sans (...)

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Polisse - Maïwenn - critique

On avait beaucoup à redouter de Polisse : en fait, le film échappe facilement à la complaisance, notamment grâce au refus d’une intrigue "pathos" pour mieux interroger des "moments de vie". Si Maïwenn déçoit dans le rôle tout à fait accessoire de cette photographe dépêchée par le Ministère, en revanche le reste du casting est convaincant, avec notamment les belles prestations de Karin Viard, Sandrine Kiberlain et de l’ensemble des enfants. On frôle parfois le ridicule, le mauvais goût, l’envie d’attirer le tout public ; mais il faut rendre justice à l’énergie de l’ensemble et à son (...)

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Sleeping Beauty - Julia Leigh - critique

A partir d’une idée originale et malgré une sensualité omniprésente qui sied plutôt bien à l’esthétique générale du film, Sleeping Beauty s’empêtre un peu dans le symbolisme de surface. Emily Browning a du mal à se défaire de son image de Baby-Doll angélique et son personnage manque de vraisemblance. Restent de belles images qui compensent les moments faibles, souvent situés pendant le sommeil de Lucy.

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Beauty - Oliver Hermanus - critique pour

D’une implacable noirceur, Beauty s’engage d’abord sur le terrain de la "beauté cachée" en suivant de près la passion de François. Regards contenus, tension latente, Hermanus filme le désir d’une main de maître. Sa tragédie a quelque chose d’un Phèdre au masculin : impossible, presque bouleversante, mais du coup un peu dérisoire. Le dénouement y est prématuré, prévisible. Et, passé ce moment du "crime", le film peine légèrement à se tirer d’une impression de tragédie avortée.

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Cinq pièces faciles - Bob Rafelson - critique

Figure emblématique du cinéma indépendant des années 70, Bob Rafelson signe avec Cinq pièces faciles une œuvre inspirée, iconoclaste, et dont la puissance musicale est portée d’un bout à l’autre par des acteurs magistraux.

Nashville - Robert Altman - critique

Œuvre majeure dans la filmographie d’Altman, Nashville nous invite à méditer sur les rapports étroits entre le show-business et la politique.

My Week with Marilyn - Simon Curtis - critique

Formellement classique, My Week with Marilyn rend un bel hommage à la star que l’on sait, mais vaut surtout par le regard qu’il porte sur ses acteurs et l’industrie du septième art.

Boogie Nights - Paul Thomas Anderson - critique

Entre grandeur et décadence, une fresque audacieuse sur le monde du porno qui peut aussi se lire comme un vibrant hommage au septième art.

My Own Private Idaho - Gus Van Sant - critique

Sous l’influence de Shakespeare, Gus Van Sant réalise un drame expérimental et flamboyant sur l’adolescence.

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable