Jean-Patrick Géraud

BD

0 BD à lire

0 BD lue

0 BD notée

0 avis de BD

FILMS

0 film à voir

0 film vu

32 films notés

36 avis de film

TV

0 série TV à voir

0 série TV vue

0 série TV notée

0 avis de série TV

LIVRE

0 livre à lire

0 livre lu

0 livre noté

0 avis de livre

MUSIQUE

0 musique à écouter

0 musique écoutée

0 musique notée

0 avis de musique

SPECTACLE

0 spectacle à voir

0 spectacle vu

0 spectacle noté

0 avis de spectacle

EXPOSITION

0 exposition à voir

0 exposition vue

0 exposition notée

0 avis d'exposition

A voir, à lire, à entendre

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Médiathèque

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Avis

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Pater - La critique

Exercice de style en roue libre, Pater séduit par sa liberté formelle, mais irrite par sa tendance à se complaire dans la pantomime et les postures creuses. Tout en faisant démonstration de son habileté, Cavalier noie son discours dans une surenchère d’artifices verbeux et d’effets de miroir, si bien que la mécanique intellectuelle du film s’emballe dans l’indifférence du spectateur. Une véritable déception, sans doute à la mesure d’une trop grande attente.

Lire la suite

The Tree of life - la critique

L’arbre de vie est un arbre sauvage, irréductible à un traitement filmique ordinaire. C’est ce que l’on retiendra du film de Malick qui apparaît, à bien des égards, comme une oeuvre difficile à appréhender, tant son désir d’expérimentation formelle contraste avec un discours religieux dont on comprend qu’il ait pu soulever quelques réserves. Passées ces réticences, il faut néanmoins rendre justice à la beauté des plans, à la richesse narrative de l’ensemble, à l’impression d’harmonie qui s’en dégage. Une oeuvre imparfaite, décevante, mais porteuse d’une singulière beauté.

Lire la suite

Super 8 - la critique

Plus encore qu’un hommage à Spielberg, Super 8 est un hymne émouvant à l’enfance et au pouvoir du cinéma. Les gamins y sont épatants de justesse, le scénario malin et ludique, l’usage des effets spéciaux parcimonieux. Abrams réalise une oeuvre profonde, où le septième art préserve de l’oubli et de la monstruosité abêtissante qui menacent le quotidien désenchanté des adultes.

Lire la suite

La guerre est déclarée - la critique

D’une intensité peu fréquente chez les jeunes auteurs français, La guerre est déclarée confirme tous les espoirs misés sur la donzelle Donzelli depuis La Reine des Pommes. Le récit nous embarque et nous émeut, sans complaisance ni boboïsme. Certaines scènes sont bouleversantes, comme celle où Adam est amené au bloc, et l’ensemble est porté par une grâce prodigieuse et un sens de la chorégraphie qui n’est pas sans rappeler le cinéma de Jacques Demy. Un merveilleux message d’espoir.

Lire la suite

L’Apollonide - souvenirs de la maison close - Bertrand Bonello - critique

Film ambitieux et par trop virtuose pour le timide Jury cannois de cette année 2011, l’Apollonide nous épargne les poses décadentes et les discours réducteurs sur la prostitution. Refusant à la fois l’esthétisme creux et la vulgarité clinquante, Bonello nous surprend, faisant surgir la violence là où on ne l’attend pas forcément, mais ménageant aussi des moments de répit dans cette plongée en apnée aux côtés des filles du bordel. Un bordel digne d’un "Moulin Rouge", et surtout un grand "Bal des Actrices", savoureux d’un bout à l’autre.

Lire la suite

Ses articles

  • BD
  • FILMS
  • SÉRIES TV
  • LIVRE
  • MUSIQUE
  • SPECTACLE
  • EXPOSITION

Cinq pièces faciles - Bob Rafelson - critique

Figure emblématique du cinéma indépendant des années 70, Bob Rafelson signe avec Cinq pièces faciles une œuvre inspirée, iconoclaste, et dont la puissance musicale est portée d’un bout à l’autre par des acteurs magistraux.

Nashville - Robert Altman - critique

Œuvre majeure dans la filmographie d’Altman, Nashville nous invite à méditer sur les rapports étroits entre le show-business et la politique.

My Week with Marilyn - Simon Curtis - critique

Formellement classique, My Week with Marilyn rend un bel hommage à la star que l’on sait, mais vaut surtout par le regard qu’il porte sur ses acteurs et l’industrie du septième art.

Boogie Nights - Paul Thomas Anderson - critique

Entre grandeur et décadence, une fresque audacieuse sur le monde du porno qui peut aussi se lire comme un vibrant hommage au septième art.

My Own Private Idaho - Gus Van Sant - critique

Sous l’influence de Shakespeare, Gus Van Sant réalise un drame expérimental et flamboyant sur l’adolescence.

La sériephilie, sociologie d’un attachement culturel

Un ouvrage synthétique et éclairant.

Adieu camarades - la critique + le test DVD

Grandeur et décadence du système soviétique à travers ce documentaire ludique, passionnant, et qui demeure instructif malgré un recours à la fiction parfois discutable