Tout à fait d’accord avec cette jolie critique ! J’ai trouvé la photo éblouissante (Sergio Armstrong). Je suis un peu déçu que le film reçoive des critiques pas au niveau qu’il mérite de la part du public : un film à montrer et à aller voir !

Parfois difficile à regarder, Hiroshima fait le choix de montrer l’horreur frontalement, et prône naturellement le devoir de mémoire, pour que jamais l’Histoire ne se répète.

Bruno Romy filme la jeunesse qui grandit avec des yeux de grand enfant et une belle aptitude à saisir les instants qui comptent.

Après un Batman Begins réussi, Nolan enchaîne avec le plus dense, le plus sombre, le plus profond des films de super-héros à ce jour. Une quête de sens spectaculaire, doublée d’une méditation autour de la question démocratique.

Malgré un postulat de départ très sympathique, L’Ile aux oiseaux pèche dans le rythme et à cause d’un ton assez scolaire.

Assez balisé mais solide, La Mission propose un joli moment, mais s’oubliera vite à n’en pas douter.

Monté comme un bon thriller, à la formule oscillant entre prouvée et éprouvée, Au contact dénote autant d’un savoir-faire indéniable que d’une prise de risque limitée.

Sans jamais atteindre les sommets, En place se suit sans déplaisir mais sans surprise, et tient au tempo comique de ses comédiens, tous remarquables.

Moloch fait plus que remplir son contrat : il parvient à happer et à questionner son spectateur, tout en forçant l’admiration.

Avec finesse, Juliette Goffart analyse la riche carrière de Fincher de manière tout à fait solide, en demeurant très accessible.

Friends Forever propose une plongée réjouissante dans l’univers cultissime de la sitcom phare de NBC, avec anecdotes en pagaille et mise en page très soignée.

L’ouvrage promet et permet un moment agréable à travers les exploits (récents) du sport (médiatisé) français. Plaisant et soigné, mais peut-être un peu léger.

Si Economie du cinéma requiert une attention élevée de la part de son lecteur, l’ouvrage sait lui offrir de nombreuses et précieuses clés de compréhension d’un univers en pleine mutation.

Jacques Aumont et Michel Marie proposent un incontournable pour l’étudiant ou encore le cinéphile aspirant à l’analyse.

D’une infinie douceur, The Car distille ses mélodies complexes avec charme et retenue, conférant un autre niveau de lecture à la carrière de ses auteurs.