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Austin Powers : l'espion qui m'a tirée - absolument fabuleux

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Le royaume - la critique

Waouh çà c’est de la bonne critique ! La scène finale d’hyperviolence est jouissive mais faut bien reconnaître que rien n’est résolu. Un film vide quant au message sur le terrorisme et ses acteurs ( on voit un gosse gangrené par le lavage de cerveau islamiste radical se faire exécuter mais il protège papy-terroriste en tirant sur les ricains !) et la beauté du casting n’empêche pas la recherche d’un discours un tant soit peu cohérent normalement mais la non.

Libre et assoupi - la critique

Les Valseuses avait cartonné car pour la 1ère fois les héros étaient des " pauvres types". On en est loin tellement Capelain semble a sa place dans cette société faite pour les winners ou les contemplatifs ( ya pas d’entre deux). Esprit estudiantin

Straw dogs (2011) - la critique + test DVD

Je suis pas de la nouvelle génération mais j’ai adoré. Faut zapper la 1ère heure du film. Le coté féminin est mis à l’honneur:la culpabilité de la fille est prenante. Quant à Cyclope il assure. Wood est génial comme toujours. La lenteur et la fadeur de l’original m’avait refroidi tout comme Délivrance ( faut être de la génération 70 pour aimer) Un film qui remue les tripes. La lutte des classes en prend pour son grade mais c’est trop bon ce trip sans acide où le viol et revanche devient un pur moment de rock and roll

My Own Private Idaho - Gus Van Sant - critique

L’illusion est un échappatoire bien illusoire pour les ados. Puissant

Creative Control - la critique du film

Ellis est de la west Coast en fait et Dickinson parle surtout du stress au travail et de la libido en berne dans un couple sain et posé. Il est attiré par Sophie avant que son pote mette le grappin dessus et cette gamine de 18 ans est un rayon de soleil dans tout ce stress ambiant. D’où les lunettes Augmenta. Il allait pas se montrer en train de se tirer la nouille en pensant à cette aguichante bimbo complètement désinhibée. Soit

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Wayward Pines : la série horrifique de Shyamalan que l’on n’attendait pas ! Critique...

Bon article je connais pas Under The Dôme même si je suis un grand fan de Stephen King et petite question :The Mist c’est le long métrage tiré de sa nouvelle Brume ? Si c’est le cas Weyward Pines est l’antithèse de The Mist.. C’est tout à l’envers :dans Weyward Pines tout le monde est bien à l’abri dans sa maison, à l’école ou au bar du coin. Ils subissent le même danger mais il y a David Pilcher

American Horror Story saison 1 - la critique + test DVD

J’ai pas encore fini le Blue ray mais je suis déjà totalement satisfait ! Entre le procès inversé du psycho-boy ( il a fait quelque chose de mal mais il semble avoir oublié il ne se rappelle que de la colère) et la rédemption de la mauvaise mère honteuse de sa gamine mongoloïde il y a presque tout les tabous dans cette série de dingue. Ton message de père c’est quoi monsieur le pater familias qui fornique avec une étudiante parce que madame a perdu le bébé ??? Il faut les voir parler avec leur démon, de la colère refoulée de la femme trompée a cette autre colère, celle de la maitresse (...)

Preacher saison 1 - la critique (sans spoiler) + le test blu-ray

Série géniale s’il en est. On regrette un peu le coté foutraque de certains aspects du scénario et c’est bien peu de chose comparé à l’excellence de brio et de ringardise affichée de cette fichue série:pas un ordi pas de Facebook juste de la poussière et des âmes torturées portées par des gueules cassées incroyables. Kass’ cartonne en double en négatif de Custer qui peine à se convaincre qu’il peut être un prédicateur digne de son père, et Tulip, l’éternelle amoureuse de mauvais garçon veut sauver son ex’ de ces bondieuseries qui fonctionnent plus comme un exutoire que selon une réelle (...)