’Boo’Radley

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La princesse et la grenouille - la critique

Dessin animé luxueux, bien fait, mais sans charme et, étrangement, sans beaucoup d’humour. Une coquille dorée, quasiment vide, aussi peu inspirée que les films produits à foison par les studios Disney dans les années 70/80.On n’a toujours pas trouvé de digne successeur à Ned Washington et Frank Churchill (en brave garçon, Randy Newman "dépanne" seulement). Revoir et réécouter « Blanche Neige », ensuite, est une source de plaisir émerveillé.

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A Serious Man - Joel et Ethan Coen - critique

Sis dans une banlieue du Midwest américain, un drôle de conte juif, assez littéraire dans son inspiration mais cinématographique dans son expression. On entre de plain-pied dans un univers symbolique, sans avoir affaire à un faux réalisme vrai ou à un vrai symbolisme faux. Un film majeur des parfois exagérément vantés frères Coen, presque aussi essentiel qu’un proverbe de l’Ancien Testament.

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I love you Philip Morris - la critique

Le portrait d’un génial manipulateur gay au coeur de midinette : l’histoire est vraie mais le sujet maltraité. Le mélange de burlesque et de mélo est assez calamiteux et le fiasco s’étend jusqu’au jeu du remarquable acteur qu’est Jim Carrey - lorsqu’il est bien dirigé. Rien n’incite à s’attacher à son personnage. La réalisation est banale, sans originalité aucune. Cette production porte la marque de fabrique de Luc Besson : on l’oublie dès que l’on a quitté la salle, et même avant.

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Sherlock Holmes - la critique

Un gâchis en superscope et multi dollars où la facilité, la complaisance et l’autosatisfaction priment tout. On ne sait pas ce qui est le plus malhonnête dans cet immense jouet cinématographique truqué et truqueur : le sabotage du mythe sous prétexte de le dépoussiérer, la roublardise de la mise en scène tonitruante et creuse, la tentative de dissimuler la banalité de l’histoire par une construction embrouillée. Le vilain film, le méchant cinéma. Soyons sûrs qu’en toute injustice il ira son bonheur de chemin et que, déjà, sa progéniture est en gestation dans les mystérieux laboratoires (...)

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House by the river - la critique du film

Récit atmosphérique où se poursuit l’exploration des thèmes purement "langiens" : la fatalité, la culpabilité, le désir de justice. Découvert tardivement en France (en 1979 au Cinéma de Minuit), "House by the river", méprisé par Fritz Lang, compte pourtant parmi les plus indiscutables réussites de son oeuvre américaine. Il faut donc guetter sa reprise sur le grand écran (il vient d’être montré en projection numérique dans une salle du Quartier Latin) ou bien se procurer le DVD avec la passionnante interview que le réalisateur donna à William Friedkin un an avant sa mort. Sa rencontre (...)

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