François Roque

J’écris mes humeurs de cinéphile qui ne va plus au cinéma au cause du bruit du pop-corn et surtout de la mort du 35 mm, mais qui se gave de dvd et Netflix. Et je ne me pignole pas (ou plus) dans mes articles, la lecture des « Cahiers du cinéma » dans les années 70/80 m’a cramé trop de neurones…

Sinon, j’ai écrit "125 ans de cinéma, 125 films", c’est là : www.facebook.com/125ansdecinema125films/

Enfin, je suis aussi là : https://twitter.com/imposture

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Mank - David Fincher - critique

On va mettre de côté le fait que Fincher revienne au long-métrage après 6 ans. Aucun rapport avec tout avis sur Mank : bien d’autres ont pris ou prennent encore plus de temps entre deux films. Tout comme sa dimension « affective », en raison du lien père-fils, scénariste-réalisateur et de ses difficultés durant 30 ans à le monter. Car là aussi, faut-il le savoir… Dès le générique, avec sa typographie désuète ombrée sur fond de ciel en noir et blanc, on comprend que Fincher va nous la jouer vieux cinéma des années 40. Après trois plans d’un cortège de voitures conduisant Herman J. (...)

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The Old Guard - Gina Prince-Bythewood - critique

Sitôt vu, sitôt oublié. Hélas. J’avoue que j’ignorais l’existence des comics dont est adapté ce film, mais quel dommage ! Certes la production est propre (photographie, décors, combats, etc.), s’offre un bon casting (mention pour Harry Melling qui, depuis Harry Potter, nous surprend après son étrange rôle dans The Ballad of Buster Scruggs, le sublime western à segments des frères Coen produit par Netfix), et Charlize Theron se fait plaisir en s’offrant un nouveau rôle bien badass, après Atomic Blonde et Mad Max : Fury Road, tout en produisant via sa compagnie, Denver and Delilah (...)

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Sorry to bother you - la critique du film

Séance rattrapage dvd hier soir. Si par moment l’interprétation et la réalisation faiblissent, l’ambiance générale assez déroutante, et les "délires" finaux employés pour appuyer le propos politique donnent à ce film un cachet exceptionnel, surtout pour une première réalisation truffée de clins d’œils (Michel Gondry, fallait oser !). Dans les bonus du dvd un entretien du réalisateur éclairant sur son process de travail…

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Les fils de l’homme - la critique du film

Film majeur du genre dystopique. Chef d’œuvre. C’es tout. (5 étoiles, le truc est encore bugué depuis le changement ;-)

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Mindhunter saison 2 - la critique (sans spoiler)

Effectivement cette deuxième saison confirme et sublime la qualité exceptionnelle de cette série. Et aussi le côté un poil vicieux des producteurs : BTK n’a été confondu qu’en 2005. En conséquence, on n’a plus qu’à espérer qu’il s’agit bien de la deuxième et non pas seconde saison, et que s’ils ont en tête 2 ou 3 saisons de plus, pas de problème, on achète tout de suite !

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Supertramp : Breakfast in America - la critique de l’album

C’est hélas plus son succès qui le rend important que sa petite poignée de tubes qui montrent plus le début de la fin du groupe. La suite ne sera que déception, après le départ de Roger Hodgson. Le seul mérite de cet album aura été de faire connaître à un plus vaste public cet excellent groupe et surtout ses 3 albums précédents, très nettement au dessus, « Crime of the Century » (1974), « Crisis ? What Crisis ? » (1974) et « Even in the Quietest Moments… » (1977) avec sa dernière piste fleuve de 10 minutes « Fool’s Overture » ; tout Supertramp est dans ces 3 albums. Ce groupe aura eu un (...)

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Under The Silver Lake - la critique du film

Un véritable bijou, truffé d’influences cinématographiques.

The Irishman - Martin Scorsese - critique film

Avec ce fleuve de 3h30, mais qui passe vite, jamais ennuyeux, par son intimité crépusculaire et une forme d’élégance, Scorsese livre probablement un de ses meilleurs films.

The Laundromat - la critique du film

En décidant d’expliquer l’inexplicable, Steven Soderbergh se rend compte de la complexité des Panama Papers et se tire tant bien que mal de cette affaire, avec une réalisation inventive et un casting de haut vol.

Opération Brothers - la critique du film

Inspirée de faits réels, cette Opération Brothers, de facture bien conventionnelle, ne s’attarde que sur le volet action d’une opération à la fois simple, complexe et surtout plus tragique.

Kidnapping Stella - la critique du film

Remake Netflix d’un thriller anglais, ce kidnapping en huis clos maintient habilement le spectateur sous pression, sans autre prétention.

DARK saisons 1 & 2 - la critique de la série

Une série qui nous plonge dans les mécanismes d’une savante horlogerie de voyages dans le temps. Sophistiquée et hypnotique, voire trop, au point d’en perdre parfois le fil…

DARK saison 3 - la critique de la série

Une série qui nous aura plongés dans les mécanismes d’une savante horlogerie de voyages dans le temps. Sophistiquée et hypnotique, voire trop, au point d’en perdre parfois le fil… qui se dénoue dans un final d’une limpidité ahurissante. Magistral.

Umbrella Academy saisons 1 & 2 - La critique de la série

Si les scénaristes ont versé dans un mixer tous les pitchs Marvel, DC & co pour bien les broyer, le cocktail final, en forme de drame familial, a des saveurs sucrées et acides, plus inventives que bien des blockbusters. Avec cette deuxième saison, Umbrella Academy s’installe dans les hits du catalogue Netflix. Une totale réussite.

How to Sell Drugs Online (Fast) Saison 2 – la critique de la mini-série

La suite des aventures de Moritz et de ses associés dealers en ligne d’ecstasy, est dans la même ligne que la saison 1 : elle se sniffe presque d’un trait. Speed, décalée, inventive et truffée de références. Aussi addictive et on attend encore salement la dose suivante…

Stateless - la critique de la série

Portés par un excellent casting et une réalisation plus proche du cinéma que de la série, ces six épisodes, en récit choral, nous plongent dans l’enfer d’un centre de réfugiés, en plein désert d’Australie. Un autre enfer aussi, de l’autre côté des grillages et barbelés. Entre thriller et quasi documentaire.

Le court-métrage, du 28 décembre 1895 à nos jours

Dernier ouvrage de la collection « L’Opportune », publié par les Presses universitaires Blaise-Pascal (Clermont-Ferrand), Le court-métrage, du 28 décembre 1895 à nos jours est un opuscule qui attirera autant l’attention des cinéphiles avertis que des néophytes désirant se plonger dans 130 ans de cinéma.

C’est presque pareil ! - Claude Gaillard - critique du livre

Un ouvrage très référencé et distrayant, qui se picore plus qu’il ne se dévore.

T’ar ta gueule à la récré. Confessions d’un influenceur - La critique du livre

La contrition fluide et vivante, mais pas fière d’un affranchi, pseudo parrain, au milieu des années 2000, de la piscine des blogs, avant qu’elle ne soit déversée et diluée dans l’océan des réseaux sociaux. Au-delà de l’aspect historique, ce récit pédagogique soulève le couvercle de l’influence digitale et en démonte son artificiel moteur.