Le 8 septembre 2015
- Réalisateur : Nicholas Ray
- Acteurs : James Dean, Natalie Wood, Sal Mineo, Jim Backus, Ann Doran
- Genre : Drame
- Nationalité : Américain
- Editeur vidéo : Warner Home Video
- Durée : 1h46mn
- Titre original : Rebel without a cause
- Date de sortie : 28 mars 1956
Galerie photos
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toni17 12 janvier 2007
La fureur de vivre - la critique
J’ai été bouleversée par ce film qui a cinquante ans et malgré cela vous montre des situations qui correspondent à notre actualité. Ce film finit sur une note optimiste. Au début nous entrons dans la vie d’adolescents et parents qui n’arrivent pas à communiquer. James Dean incarne L’Adolescent avec un grand A, c’est-à-dire tous les ados qui sont incompris par leurs parents. Les parents ne font pas assez d’efforts pour se rapprocher de leurs enfants, car ils sont trop préoccupés avec leurs propres problèmes. Les jeunes sont à la dérive,se sentent seuls et abandonnés. Il y a des scènes peut-être trop mélodramatiques, mais quand nous constatons tous les problèmes de la jeunesse dans notre sociétè actuelle, nous pouvons penser qu’il faut peu de chose pour entrainer un ado vers une situation très difficle, voire tragique, surtout quand les parents n’essaient pas de les comprendre. Ce film essaie de nous montrer l’importance de la famille et la communication et compréhension entre enfants et parents. Comment traiter des problemes sans dialogue ? Pouvons-nous aller vers une société moins violente en commençant par la famille ? Pouvons-nous prendre le temps d’écouter nos enfants avant qu’il ne soit trop tard et les aider à créer un monde meilleur ?
Norman06 3 novembre 2010
La fureur de vivre - la critique
Le chef-d’œuvre de Nicholas Ray, avec Johnny Guitare. Si le contexte sociologique de la rébellion adolescente est un brin daté (bien des choses ont changé depuis Van Sant et Larry Clarke...), le souffle de la tragédie parcourt ce récit sombre et flamboyant, magnifié par un scope et de somptueux mouvements de caméras. Et l’on réalise que le jeu de James Dean est d’une éclatante modernité. Les amateurs de gay studies trouveront en outre de troublants sous-entendus par le biais du personnage de Sal Mineo.