Le 17 juin 2025


Un deuxième tome qui soulève de nouvelles questions...
Résumé : Alors que Tatari affronte Haruka Abe, la guerre de succession fait rage à Hong-Kong ! La vie de lycéen n’est pas une sinécure, surtout quand on est un yokaï.
Critique : Le premier tome de Tatari nous avait particulièrement séduit. Il s’arrêtait en plein combat. Et ce deuxième tome reprend sur les chapeaux de roues, pour notre plus grand bonheur ! Le combat entre Tatari et Haruka atteint son paroxysme nous emportant complètement dans son rythme effréné grâce à la maîtrise des scènes de combats de Watari d’ailleurs nous avons beaucoup aimé sa représentation des techniques Onmyoji !
© 2025 Watari, SHOGAKUKAN, Glénat
Plusieurs fils narratifs se déroulent en parallèle dans ce tome. D’un côté, nous suivons Tatari dans son quotidien de lycéen ordinaire, ou presque, car la découverte d’un second Yokai au sein du lycée et une série de meurtres poussent notre héros Yokai a enquêter !
Watari explore la complexité et l’importance des liens, qu’ils soient amicaux ou familiaux, dans la vie. Tatari s’interroge énormément à ce sujet, prenant exemple sur Takeru, il fait des choix qui s’opposent à sa nature de yokaï. Un joli message du mangaka sur la possibilité pour tous et toutes de changer.
© 2025 Watari, SHOGAKUKAN, Glénat
L’autre fil de l’histoire tissé par Watari est cette guerre de succession, qui a causé la mort de Takeru dans le tome précédent et embarqué Tatari dans cette nouvelle vie. Les complots, les combats et les intrigues fleurissent mais une question demeure : qui tire les ficelles ?
Nous envisageons plusieurs noms au terme de ce deuxième tome qui voit ces deux fils narratifs principaux se rencontrer autour d’un combat. Même si la narration est parfois un peu brouillonne, nous avons passé un excellent moment de lecture et nous lirons la suite pour confirmer, ou infirmer, nos hypothèses.
208 pages - 7,20 €
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