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Le 24 avril 2013
- Titre original : Army of two : the devil's cartel
- Date de sortie : 29 mars 2013
Date de sortie : 29 mars 2013
Incarnez un mercenaire au service de la justice face au cartel de la drogue mexicain dans un jeu vidéo gonflé d’action qui fait office de bon gros défouloir !
Incarnez un mercenaire au service de la justice face au cartel de la drogue mexicain dans un jeu vidéo gonflé d’action qui fait office de bon gros défouloir !
L’argument : Vous avez déjà fait face à de dangereux ennemis mais vous devez désormais affronter le cartel le plus redoutable du monde. Lancez-vous dans une opération contre La Guadaña (La Faucheuse), une organisation criminelle qui met le Mexique à feu et à sang. Violence, peur et intimidation sont les instruments du cartel pour dicter sa loi. Ce dernier n’hésite pas à orchestrer des meurtres et à corrompre le gouvernement pour parvenir à ses fins. Seuls vous et votre coéquipier pourrez organiser la révolte au cœur du cartel du Diable et rétablir la justice au Mexique. L’avenir de la nation est en jeu, vous ne pouvez pas échouer.
Notre avis : Troisième volet de la série Army of two après le premier titre éponyme et l’épisode Le 40ème jour, Le cartel du diable va nous plonger dans un Mexique gangréné par un puissant cartel de la drogue nommé La Guadaña (traduisez par : la faucheuse). Avec votre équipier vous allez devoir remplir plusieurs missions en accumulant les douilles sous vos pieds. Sous un soleil de plomb, muni de vos armes et à l’ombre des explosions, les membres du cartel vous donnerons pas mal de fil à retordre. Si les missions peuvent paraître un peu répétitives (souvent on avance et on se planque dans les rues ou dans le désert en mitraillant tout ce qui bouge), le challenge parviendra à tenir en haleine les amateurs de TPS (third personal shooter) bourrin entre 8 à 10 bonnes heures de jeu suivant les niveaux de difficulté, ce qui n’est carrément pas mal du tout pour ce type de jeu !
Les graphismes s’en sortent également avec les honneurs, visuellement on n’a pas l’impression de jouer à un titre daté et les effets pyrotechniques parviendront à secouer les joueurs les plus endurcis. Doté d’une maniabilité sympathique avec un système de couverture rapide, quelques interactions utiles avec votre partenaire et des sensations de tir relativement bonnes, votre personnage n’aura plus de secret pour vous au bout de quelques dizaines de minutes de jeu (on notera que le didacticiel pour vous familiariser avec la jouabilité est assez bien fichu).
Le mode "Overkill" que l’on pourra activer lorsque l’on aura tué suffisamment d’ennemis vous permettra d’obtenir l’invincibilité et des balles illimitées durant quelques secondes, et là il faut avouer que c’est un pied monstrueux de dézinguer du gangster à tour de bras sans se soucier de sa jauge de vie ! A la fin de chaque mission vous gagnez une somme d’argent qui vous aidera à customiser vos armes comme bon vous semble en gonflant vos chargeurs ou en vous procurant des balles incendiaires, visée laser ou à lunette, silencieux etc...
A côté de ça, l’intrigue principale ne figure pas parmi les plus passionnantes qu’on ait connues, elle se rapproche assez des scénarios de série B lambda. Les dialogues quant à eux ne volent pas bien haut, entre deux vannes balourdes et parfois salaces, on arrose le tout avec quelques injures et le tour est joué pour dérider les kids dans leur canap’.
La musique au thème héroïque du soft va jusqu’à nous rappeler les belles heures d’un certain Hans Zimmer (toute proportion gardée) afin de faire monter la sauce durant les différents moments de bravoure. A défaut d’offrir beaucoup de nouveautés et une histoire consistante Army of two : le cartel du diable reste malgré tout un excellent défouloir bourrin et jouissif, idéal après une dure journée de travail. Camarero ! Une tequila frappée et que ça saute !
Galerie Photos
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